#ÉcrivainsFrançais
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
Après la charge, après la ronde je… Un autre soldat que moi dort dans… Quand je me réveille, en sursaut,… Le même cauchemar qui nous unissai…
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…
La pièce est courte et l’acte est… As-tu regardé par derrière Le miroir s’enfonçait On y voyait une ombre De tous ceux qui sont morts on ne…
Rien qui dépasse le niveau de la f… Tous les yeux se tournent vers ce… Il y a derrière le vieux qui fume…
Alors sur le soleil midi devait so… Sur cet immense gong Un poing lourd s’abattait Aux applaudissements de tous Personne n’est resté couché
Une petite tache brille entre les… La chambre est vide et les volets… C’est le jour qui entre ou quelque… Le paysage du mur—l’horizon de der… Il y a des arbres et des nuages, d…
II neige sur le mont Blanc Et une grosse cloche sonne dedans Jusqu’en bas une procession de gen… Les cœurs brûlent à feu couvert
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
La fenêtre Un trou vivant où l’éclair bat Plein d’impatience Le bruit a percé le silence On ne sait plus si c’est la nuit
La rue est toute noire et la saison n’a pas laissé de traces. J’aurais voulu sortir et l’on retient ma porte. Pourtant là-haut quelqu’un veille et la lampe est éteinte. Tandis que les b...
Chemin faisant dans les clartés si… Dans l’obscurité complète le temps… Roulé au fond sombre du circuit et… Tout ce qui luit Qui s’éteint
La pièce dans le courant d’air Sous la flamme qui se répand Dans la ville endormie Près des arbres mouvants Du mur de pierres
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris
La maigre ligne au quart du vent l’aile qui se retrousse Et la perte du temps les buttes mieux placées dans l’air l’eau qui s’égoutte les…