#ÉcrivainsFrançais
Un cortège de gens plus ou moins h… On passe entre les arbres qui s’in… Dans le silence digne, si quelqu’u… On passe devant la maison d’un poè… Bientôt, c’est un boulevard bordé…
Entre la maison et le ciel Tout se gonfle Car le vent souffle Les étoiles montent de la cheminée Une à une elles se sont fixées
Une première fois sa canne tombe e… La jambe droite s’écarte de la lig… Son temps se passe à déjouer la st… C’était peut-être un roi, déguisé…
Plus épais, il avait voulu le faire plus épais pour son fils que pour lui, Roi. Et, entre la canne et la corne où se balance son chapeau et la tête vide qui rit de sa position saugrenue...
Une éclaircie avec du bleu dans le ciel ; dans la forêt des clairières toutes vertes ; mais dans la ville où le dessin nous emprisonne, l’arc de cercle du porche, les carrés des fenêtre...
Enfin me voilà debout Je suis passé par là Quelqu’un passe aussi par là maint… Comme moi Sans savoir où il va
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…
Quel monde La foule descend des toits où bril… C’est une illumination de fête Les arbres sont des lustres morts Quelques figures de connaissance
Entre le col de verre et le vin Flotte un nuage Mélange Clair-obscur Lambeaux
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
Le globe plus agile rebondit au rebord l’oiseau glisse l’argile coule le fond de la forme l’effort
Dans la lutte implacable de l’homm… Dans la mécanique sévère le cylind… L’homme né vigoureux progresse au… La campagne est déserte et sinistr… Mais personne ne passe
En passant une seule fois devant c… mon front Qui est là Quel chemin est venu finir à cet e… Quelle vie arrêtée
Des bras charnus et des fourrures… Les lumières vont à la chaleur que… Et tous les mendiants frappaient à… Le même spectacle les attend ; la… Enfin la musique joue, quand même,…
A la suite du temps présent du dégoût soulevé le flanc couvert… Avec toutes la place pour le même… le métal de l’esprit lavé La main tiède sur la prunelle