"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Il eut des temps quelques argents Et régla ses camarades D’un sexe ou deux, intelligents Ou charmants, ou bien les deux gra… Si que dans les esprits malades
C’est la fête du blé, c’est la fêt… Aux chers lieux d’autrefois revus… Tout bruit, la nature et l’homme,… De lumière si blanc que les ombres… L’or des pailles s’effondre au vol…
Nature, rien de toi ne m’émeut, ni… Nourriciers, ni l’écho vermeil des… Siciliennes, ni les pompes auroral… Ni la solennité dolente des coucha… Je ris de l’Art, je ris de l’Homm…
Le paysage dans le cadre des porti… Court furieusement, et des plaines… Avec de l’eau, des blés, des arbre… Vont s’engouffrant parmi le tourbi… Où tombent les poteaux minces du t…
Ton rire éclaire mon vieux cœur Comme une lanterne une cave Où mûrirait tel cru vainqueur : Aï, Beaune, Sauterne, Grave. Ton rire éclaire mon vieux cœur.
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
Sur mon front, mille fois solitair… Puisque je dois dormir loin de toi… La lune déjà maligne en soi, Ce soir jette un regard délétère. Il dit ce regard—pût-il se taire !
Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Mon cher enfant, que, mon Dieu, t… Moi-même pauvre ainsi que toi, pur… Mon cher enfant que j’ai vu dans m… Et beau comme notre âme pure et tr…
La chambre, as-tu gardé leurs spec… Ô pleine de jour sale et de bruits… La chambre, as-tu gardé leurs form… Par ces crasses au mur et par quel… Ah fi ! Pourtant, chambre en garn…
Non. Il fut gallican, ce siècle,… C’est vers le Moyen Age énorme et… Qu’il faudrait que mon coeur en pa… Loin de nos jours d’esprit charnel… Roi politicien, moine, artisan, ch…
Quinze longs jours encore et plus… Déjà ! Certes, parmi les angoisse… La plus dolente angoisse est celle… On s’écrit, on se dit que l’on s’a… D’évoquer chaque jour la voix, les…
Donc, ce sera par un clair jour d’… Le grand soleil, complice de ma jo… Fera, parmi le satin et la soie, Plus belle encor votre chère beaut… Le ciel tout bleu, comme une haute…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Gloire à Dieu dans les hauteurs, Paix aux hommes sur la terre ! Aux hommes qui l’attendaient Dans leur bonne volonté. Le salut vient sur la terre...
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents