"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
Les plus belles voix De la Confrérie Célèbrent le mois Heureux de Marie. Ô les douces voix !
Les variations normales De l’esprit autant que du cœur, En somme, témoignent peu mal En dépit de tel qui s’épeure, Parlent par contre, contre tel
Les hauts talons luttaient avec le… En sorte que, selon le terrain et… Parfois luisaient des bas de jambe… Interceptés !– et nous aimions ce… Parfois aussi le dard d’un insecte…
Bobèche, adieu ! bonsoir, Paillas… Place, bouffons vieillis, au parfa… Place ! très grave, très discret e… Voici venir le maître à tous, le c… Plus souple qu’Arlequin et plus b…
Les roses étaient toutes rouges Et les lierres étaient tout noirs. Chère, pour peu que tu ne bouges, Renaissent tous mes désespoirs. Le ciel était trop bleu, trop tend…
La Gueule parle : « L’or, et puis… Toujours l’or, et la viande, et le… Et l’or pour les vins fins et la v… Un trou sans fond pour l’or toujou… La Panse dit : « À moi la chute d…
Tu fus souvent cruelle, Même injuste parfois, Mais que fait, ô ma belle, Puisqu’en toi seule crois Et puisque suis ta chose.
Notre-Dame de Santa Fé de Bogota… Qui vous apprêtez à faire le tour… Or, mon émotion serait trop profon… Dans le chagrin réel dont mon cœur… À la nouvelle de ce départ déplora…
Roule, roule ton flot indolent, mo… Sur tes ponts qu’environne une vap… Bien des corps ont passé, morts, h… Dont les âmes avaient pour meurtri… Mais tu n’en traînes pas, en tes o…
Après la chose faite, après le cou… Après le joug très dur librement a… Et le fardeau plus lourd que le ci… Levé d’un dos vraiment et gaîment… Après la bonne haine et la chère r…
Vaincus, mais non domptés, exilés,… Et malgré les édits de l’Homme et… N’ont point abdiqué, crispant leur… Sur des tronçons de sceptre, et rô… Les nuages coureurs aux caprices m…
C’est plutôt le sabbat du second… Un rhythmique sabbat, rhythmique,… Rhythmique.—Imaginez un jardin de… Correct, ridicule et charmant. Des ronds-points ; au milieu, des…
L’été ne fut pas adorable Après cet hiver infernal, Et quel printemps défavorable ! Et l’automne commence mal, Bah ! nous nous réchauffâmes
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…