"Sagesse (1881)"
#ÉcrivainsFrançais
La lune blanche Luit dans les bois ; De chaque branche Part une voix Sous la ramée...
Dieu vit au sein d’un cœur caché, Non d’un esprit épars, en milliers… En millions de mots hardis comme d… A tous les vents du ciel ou plutôt… Et d’un scandale tel, précisément…
L’homme pauvre du cœur est-il si r… Non. Et je suis cet homme et vous… Et tous les hommes sont cet homme… Ou le seront quand l’heure opportu… Conçus dans l’agonie épuisée et pl…
Va ton chemin sans plus t’inquiéte… La route est droite et tu n’as qu’… Portant d’ailleurs le seul trésor… Et l’arme unique au cas d’une bata… La pauvreté d’esprit et Dieu pour…
Va, chanson, à tire-d’aile Au-devant d’elle, et dis-lui Bien que dans mon cœur fidèle Un rayon joyeux a lui, Dissipant, lumière sainte,
Quand Marco passait, tous les jeu… Se penchaient pour voir ses yeux,… Où les feux d’Amour brûlaient san… Ta pauvre cahute, ô froide Amitié… Tout autour dansaient des parfums…
L’ombre des arbres dans la rivière… Meurt comme de la fumée, Tandis qu’en l’air, parmi les ramu… Se plaignent les tourterelles. Combien, ô voyageur, ce paysage bl…
Mais après les merveilles Qui n’ont pas de pareilles De l’épaule et du sein, Faut sur un autre mode Dresser une belle ode
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
Le Souvenir avec le Crépuscule Rougeoie et tremble à l’ardent hor… De l’Espérance en flamme qui recu… Et s’agrandit ainsi qu’une cloison Mystérieuse où mainte floraison
Tendre, la jeune femme rousse, Que tant d’innocence émoustille, Dit à la blonde jeune fille Ces mots, tout bas, d’une voix dou… « Sève qui monte et fleur qui pous…
La myrrhe, l’or et l’encens Sont des présents moins aimables Que de plus humbles présents Offerts aux Yeux adorables Qui souriront plutôt mieux
L’hiver a cessé : la lumière est t… Et danse, du sol au firmament clai… Il faut que le cœur le plus triste… À l’immense joie éparse dans l’air… Même ce Paris maussade et malade
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à
Mon Dieu m’a dit : Mon fils, il f… Mon flanc percé, mon cœur qui rayo… Et mes pieds offensés que Madelei… De larmes, et mes bras douloureux… De tes péchés, et mes mains ! Et…