Les chansons des rues et des bois (1865)
#ÉcrivainsFrançais
Donc, vieux passé plaintif, toujou… Nous criant :—Pourquoi donc est-o… Qu’êtes-vous devenus ? Dites, ave… Quel pacte avez-vous fait ? Quel… Nous questionnant, sombre et de ra…
Sara, belle d’indolence, Se balance Dans un hamac, au-dessus Du bassin d’une fontaine Toute pleine
Je m’étais endormi la nuit près de… Un vent frais m’éveilla, je sortis… J’ouvris les yeux, je vis l’étoile… Elle resplendissait au fond du cie… Dans sa blancheur molle, infinie e…
Oh ! pour remplir de moi ta rêveus… Tandis que tu m’attends, par la ma… Sous l’arbre au bord du lac, loin… Tandis que sous tes pieds l’odoran… Toute pleine de brume au soleil en…
Voilà… Elle est morte, pour ainsi dire, q… Saint Augustin, Confessions.… J’ai des rêves de guerre en mon âm… J’aurais été soldat, si je n’étais…
Ciel ! après tes splendeurs, qui r… Liberté sainte ; après toutes ces… Tourbillon inouï ; Après ce Marengo qui brille sur l… Et qui ferait lâcher le premier B…
Ma dague d’un sang noir à mon côté… Et ma hache est pendue à l’arçon d… J’aime le vrai soldat, effroi de… Son turban évasé rend son front pl… Il baise avec respect la barbe de…
Tu vois cela d’ici. Des ocres et… Plaines où les sillons croisent le… Chaumes à fleur de terre et que ma… Quelques meules de foin debout sur… De vieux toits enfumant le paysage…
Je veille. Ne crains rien. J’atte… Les anges sur ton front viendront… Je ne veux pas sur toi d’un rêve a… Farouches ; Je veux qu’en te voyant là, ta mai…
Seuls tous deux, ravis, chantants… Comme on s’aime ! Comme on cueille le printemps Que Dieu sème ! Quels rires étincelants
J’ai bien assez vécu, puisque dans… Je marche, sans trouver de bras qu… Puisque je ris à peine aux enfants… Puisque je ne suis plus réjoui par… Puisqu’au printemps, quand Dieu m…
Fuyez au mont inabordable ! Fuyez dans le creux du vallon ! Une nation formidable Vient du côté de l’aquilon. Ils auront de bons capitaines,
Comment, disaient-ils, Avec nos nacelles, Fuir les alguazils ? –Ramez, disaient-elles. Comment, disaient-ils,
Au poète Mérante. Ami, viens me rejoindre. Les bois sont innocents. Il est bon de voir poindre L’aube des paysans.
Qu’il erre sans repos, courbé dès… En des sables sans borne où le sol… Sitôt qu’il aura lui ! Comme un noir meurtrier qui fuit d… S’il marche, que sans cesse il ent…