Les Cariatides (1842)
#ÉcrivainsFrançais
Au moment de jeter dans le flot no… Ces choses de mon cœur, gracieuses… Que boira le gouffre sans fond, Ce gouffre aux mille voix où s’en… Et qui couvre d’oubli les tombes e…
Parmi les gazons Tout en floraisons De… J’écoute sans fin La chanson du Vin
Oh ! lorsque incessamment tant de… S’impriment à la rame, Et que notre Thalie accouche tous… D’un nouveau mélodrame ; Que les analyseurs sur leurs gros…
Auguste, mon très bon, qui toujour… Pour les yeux en amande, Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucou… Et que je me demande Pourquoi décidément ce monde où no…
Mère, si peu qu’il soit, l’audacie… Qui poursuit sa chimère, Toute sa poésie, ô céleste faveur… Appartient à sa mère. L’artiste, le héros amoureux des d…
Quoi donc ! vous voir et vous aime… Est un crime à vos yeux, Clymène. Et rien ne saurait désarmer Cette rigueur plus qu’inhumaine ! Puisque la mort de tout regret
Chère, voici le mois de mai, Le mois du printemps parfumé Qui, sous les branches, Fait vibrer des sons inconnus, Et couvre les seins demi-nus
C’est un palais du dieu, tout remp… Cariatides sœurs, des figures d’iv… Portent le monument qui monte à l’… Fier comme le témoin d’une immorte… Quoique l’archer Soleil avec ses…
Que de fois sous les tilleuls, Tous deux seuls Avec ma maîtresse blonde, Ton livre m’a fait songer, Étranger
Notre Eldorado, Mes amis, enfin doit éclore : Malgré mon bandeau, Je vois une nouvelle aurore. Aux cieux extasiés
Ma foi, vous avez bien raison, Vous pour qui tout est floraison Et violettes Parfumant les pieds de vos lys, De ne pas célébrer Phyllis
Ô forêt adorée encor, Fontaineblea… Dis-moi, le gardes-tu sur le tronc… Ce nom que j’appelais mon espoir e… Et que j’avais gravé partout dans… Elle, enfant comme moi, nous allio…
C’était la veille de Mai Un soir souriant de fête, Et tout semblait embaumé D’une tendresse parfaite. De son lit à baldaquin,
Il est dans l’île lointaine Où dort la péri, Sur le bord d’une fontaine, Un rosier fleuri Qui s’orne toute l’année
Ce que je veux rimer, c’est un con… Surtout n’y cherchez pas la trace… L’air est sans fioriture et le fon… D’abord j’ai de tout temps exécré… Puis je n’ai jamais eu que des goû…