#ÉcrivainsFrançais
Les yeux à peine ouverts La main sur l’autre rive Le ciel Et tout ce qui arrive La porte s’inclinait
Sur le rempart où tremblent des ru… La nuit finie, le bruit dissipe le… Au milieu des fumées les hommes so… Qui sonna la victoire ? La charge… Un trompette rallie des lambeaux d…
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
C’était peut-être la première fois qu’il voyait quelque chose de clair. Il se sentait accroché au dernier wagon du train de luxe pour quelque destination magnifique et regardait distrai...
Vous ne passerez jamais par cette… ni l’allée du milieu La tête énorme et lourde les dépas… le ciel se coupe en deux S’il y avait une autre mesure entr…
Un pas de plus vers le lac, sur les quais, devant la porte éclairée de la taverne. Le matelot chante contre le mur, la femme chante. Les bateaux se balancent, les navires tirent un peu ...
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
La feuille vole cachant l’ombre Un jour de plus vient s’ajouter au… Les passants arrêtés à l’étage au-… Quelqu’un descend L’araignée monte
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
Dans mon rêve la tête d’un enfant… Si les nuages s’accumulent sur ton… Mais aucune voix ne t’appelle. Si… L’édredon gardait le silence ; les…
A la petite fenêtre, sous les tuiles, regarde. Et les lignes de mes yeux et les lignes des siens se croisent. J’aurai l’avantage de la hauteur, se dit-elle. Mais en face on pousse les v...
L’élan L’arrêt la balance au bout du traj… Tout porte à faux les mots le drap… Il naît sous l’aile de papier l’être remue
Dans la poitrine, l’amour d’un dra… Si ta foi est morte que répondre à… Un ami meurt d’enthousiasme derriè… Et, dans les champs bordés de rout… Les ruines balancent leurs cadavre…
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Plus je crie plus le vent est fort La porte se ferme Emporte la fourrure et les plumes Et le papier qui vole Je cours sur la route après les fe…