#ÉcrivainsFrançais
La cheminée garde le toit Gomme le sommet la montagne Le ciel passe derrière et le nuage… Contre l’œil qui regarde Minuit
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Le temps passé dans une chambre où tout est noir reviendra plus tard. Alors j’apporterai une petite lampe et je vous éclairerai. Les gestes confus se préciseront. Je pourrai donner un s...
Le feu couve au brasier Les regards les attentes Tous ces visages-là penchés près d… Où se lit l’histoire simple et mag…
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Le temps de passer au tournant se… l’aube à la boutonnière Voir passer la rangée des casques à la rivière L’eau brille entre les remparts le…
Un trou dans la lumière et la port… Tout est noir Les yeux se sont remplis d’un somb… On rit Mais la mort passe
Sur le bord du chemin où il s’est laissé tomber, les bras pendants, ses mains traînent dans le ruisseau où l’eau ne coule pas. La forêt s’ouvre sur sa tête et d’en haut le passant regar...
Une minute à peine Et je suis revenu De tout ce qui passait je n’ai rie… Un point Le ciel grandi
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
Il sait à peine d’où tu viens Malgré la ride qui te marque Malgré ces traces sur tes joues Et les mouvements de tes mains Il ne veut pas que tu t’en ailles
Par le tuyau du ciel ouvert le ven… Un nuage affolé poursuit son ombre… Et sur le hâle du plafond Une ligne blanche Plus large
Les quatre pieds des chevaux tremb… La même ligne me sert de couvercle Le monde est éteint sous le couvre… Les fenêtres brillent comme des ye… On a des armes pour rire
A travers la pluie dense et glacée… Mais ses souliers trop grands sont… O monde sans abri qui vas ce dur c… O monde qui les méprises, tu me fa…