#ÉcrivainsFrançais
Des lignes trop usées par les rigu… La flaque d’eau sous la gouttière Le reflet timide qui danse Et la nuit qui descend Aucun essor
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
On peut regarder de travers Tous ceux qui passent sous l’avers… Les voix qui criaient à l’envers Et les animaux en détresse A peine relevés du ciel
La fontaine coule sur la place du… Le soleil déridé brille au travers… Les voix qui murmuraient sont bien… Il en reste encore quelques frais… J’écoute le bruit
Il n’est pas encore revenu Mais qui dans la nuit est entré La pendule les bras en croix S’est arrêtée
Toute la face ronde Au coin sombre du ciel L’épée la mappemonde sous les rideaux de Pair
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
La pièce est courte et l’acte est… As-tu regardé par derrière Le miroir s’enfonçait On y voyait une ombre De tous ceux qui sont morts on ne…
Autour de la table Au bord de l’ombre Aucun d’eux ne remue beaucoup Et quelqu’un parle tout à coup Il fait froid dehors
Sur les mêmes couleurs le jour fil… La flèche d’or pur le traverse Sur l’arbre tendre et le rayon ame… Qui fond dans la forêt épaisse Au matin le ton est plus gris
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
Dans une singulière détresse d’or j’attends, passé minuit, que vienne l’heure propice à toutes les défenses contre les éléments. Je vais passer devant l’ennemi, redoutable plus que la p...
Les voiles blancs s’effacent décou… L’eau s’agite dans les ornières Derrière le bois les champs et la… Les cheminées jouent au ballon dès… Le soleil monte et redescend
Ça n’a jamais été l’oncle près du… Mais l’homme au chandail vert dans… Il mange La pendule ne pense plus à rien Elle est vide
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus