#ÉcrivainsFrançais
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…
A la petite fenêtre, sous les tuiles, regarde. Et les lignes de mes yeux et les lignes des siens se croisent. J’aurai l’avantage de la hauteur, se dit-elle. Mais en face on pousse les v...
On peut regarder de travers Tous ceux qui passent sous l’avers… Les voix qui criaient à l’envers Et les animaux en détresse A peine relevés du ciel
Après cette scène où je me suis montré si éclatant de chasteté que peut-il advenir ? Où sont mes papiers et mon identité vieillie et la date de ma naissance imprécise ? Et, d’ailleurs, ...
Les rafles d’or sur le ravin des v… Quand les feuillets de la mer se r… Au bruit du vent Et des portées des voiles On commence à s’habituer à tous ce…
L’enseigne de la rue dévoile son m… Le bras tendu près du balcon porte… Les yeux sont agrandis par un dern… Le clocher devient bas Un nuage le casse
Il y a des mains qui passent Quelque chose passe dans le vent Trois têtes au moins se balancent Mes yeux partent à fond de train J’arriverais à temps
Je n’aurais jamais voulu revoir to… Tes joues creuses et tes cheveux a… Je suis parti à travers champs Sous les bois humides Jour et nuit
Avant de partir pour la cérémonie… Avant d’engloutir cet espace prése… Au dessus des vagues tordues sous… Saluons le soleil Les murs sont au courant
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Un œil crevé par une plume Larme qui tombe de la lune Un lac Le monde rentre dans un sac La nuit
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
L’éclair passe à travers la bague Le diamant reste à ton doigt La ligne sortait du coin le plus s… Celle qui était à son bras formée… La femme souriait
Comment me défaire de ces quelques… Tout me suit Le monde devient de plus en plus p… C’est une course rapide et éternel… Comme la vie
Je suis au milieu d’un nuage de neige ou de fumée L’éclat du jour fait son tapage la fenêtre en battant ouvre le mur… et l’œil déjà baissé