#ÉcrivainsFrançais
Au milieu de cet attroupement il y a avec un enfant qui danse un homme qui soulève des poids. Ses bras tatoués de bleu prennent le ciel à témoin de leur force inutile. L’enfant danse, l...
Le point de l’appareil montre le r… Le regard Le hasard des mots venant au bout… Le retard du lever de la toile Sous les lampes vides et presques…
Plus loin entre la plante grasse e… Dresser l’échelle Les formes qui remuent dans le fon… blanches d’autres noires Selon le mouvement brutal du réfle…
Il fait si chaud que l’air vibre et que tout bruit devient assourdissant. Des meutes de chiens féroces aboient. Par les fenêtres ouvertes, les cris des femmes rivalisent avec cette fanf...
Les mains ouvertes sur la poitrine… Il y a, derrière, une route qui mo… La pierre des marches s’incline au… La tache qui est au milieu n’est p… —c’est peut-être un trou.
Il y a parfois dans la ville ceux… Le cadre illuminé passant sur les… Dans ce paysage parisien roux à l’… Il y a tous ceux qui passent feuil… Sur le fond du jardin bien rangé s…
Quelqu’un parle et je suis debout Je vais partir là-bas à l’autre bo… Les arbres pleurent Parce qu’au loin d’autres choses m… Maintenant la tête a tout pris
Le fil descend. Du haut du ciel le fil descend, lourd, droit, noir—descend sur le sommet de la tête nue—la tête du vieillard qui s’arrête. Il est dans un jardin bordé de grilles, en cag...
Au coin de la rue sous le seul bec… Il fait sombre, plus loin, et la n…
Il grimpe sans jamais s’arrêter, s… Le poids qu’il traîne est lourd ma… A chaque porte il a crié son nom,… Mais quand il a su qu’on attendait…
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Le mal est fait Les vagues dans le salon pénètrent… A travers les ouvertures blanches… L’ombre plus bleue contre les raie… C’est de l’air
La teinte grise au cadran lumineux Au cadran sans aiguilles Au regard bleu Au bord de cette ville dont le clocher s’endort
Les tapis fortement secoués laissaient des signes entre les arbres. On les avait déteints avec les pieds. Sur les quais, avec un regard attendri, les têtes se tournaient, mais les passa...
Je m’attendais à tout ce qui peut… La tête en bas Les pieds touchant la tête Et tout ce qui dans l’angle remuai… Contre le mur