#ÉcrivainsFrançais
Je lis à travers ton front jaune e… Les rires les éclats les lumières… Dansent Tu es saoule Autrefois les boulevards étaient g…
Le temps de passer au tournant se… l’aube à la boutonnière Voir passer la rangée des casques à la rivière L’eau brille entre les remparts le…
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Entre la maison et le ciel Tout se gonfle Car le vent souffle Les étoiles montent de la cheminée Une à une elles se sont fixées
Des bras charnus et des fourrures… Les lumières vont à la chaleur que… Et tous les mendiants frappaient à… Le même spectacle les attend ; la… Enfin la musique joue, quand même,…
Le chemineau aurait frappé de son… durci A cet endroit Devant la porte un chien furieux g… La famille protégée dort
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Le feu est presque éteint Et devant quelqu’un pleure Où passe cette main Dont la chaleur demeure Il fait nuit
Je croise la maison toujours inhab… Là se tient le grand homme lourd e… La rive est plus basse que l’eau Le ciel est plus profond et moins… Je crois que les voisins sont asse…
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
Tout s’est éteint Le vent passe en chantant Et les arbres frissonnent Les animaux sont morts Il n’y a plus personne
Le Vestiaire Le Portemanteau La lumière
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Le soir tombant dilatait les yeux… Nous étions tous les deux assis su… Derrière la ligne qui fermait la r… Et la ville, où est-elle la ville…