Prose
#ÉcrivainsFrançais
Entre les murs_de cette salle basse se mouvaient des esprits obscurs et d’autres extrêmement légers et lumineux. Un homme presque nu entra au milieu de ces toiles et dans ces étendues d...
Les étoiles sont derrière le mur Dedans saute un cœur qui voudrait… Aime le moment qui passe A force ta mémoire est lasse D’écouter des cadavres de bruits
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
Sous les lueurs des plantes rares les joues roses des cerisiers les diamants de la distance Et les perles dont elle se pare Sous les lustres des flaques tiède…
Si j’ai ri ce n’est pas du monde é… Les têtes penchées ou droites me f… Les jambes qui courent tremblent e… Je n’ai pas ri du monde qui passai…
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
Que de libres ! Un temple dont les murs épais étaient bâtis en livres. Et là dedans, où j’étais entré on ne saura comment, je ne sais par où, j’étouffais ; les plafonds étaient gris de ...
Le vent revient plus tard du chemi… Les mains pendent au bord du livre Tête nue l’homme traverse l’heure… Sur la pointe où le ciel se fixe L’étoile et son pignon
Comment vivre ailleurs que près de… Le vieillard a jeté une à une ses… A quoi bon continuer à mordre ces… Le vieillard Les dents
L’air sent la mer L’hiver a une pareille altitude m’… On ne sait où naissent les vents Ni quelle direction ils prennent La maison tangue comme un bateau
Quel monde La foule descend des toits où bril… C’est une illumination de fête Les arbres sont des lustres morts Quelques figures de connaissance
En face de mon œil la corne du cro… Au bout d’un plus long bras Que toutes les fenêtres s’éclairen… Que la lune frappe plus fort aux v… Que les plaques de plâtre avec les…
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Le temps de passer au tournant se… l’aube à la boutonnière Voir passer la rangée des casques à la rivière L’eau brille entre les remparts le…