Prose
#ÉcrivainsFrançais
Je vois celui qui parle dans l’omb… Et je pense Que sa parole monte au plafond ple… Que ses yeux servent de lampe à l’… l’air noir pour atteindre le ciel
Dans la poitrine, l’amour d’un dra… Si ta foi est morte que répondre à… Un ami meurt d’enthousiasme derriè… Et, dans les champs bordés de rout… Les ruines balancent leurs cadavre…
Il se penche au bord du parapet et… Les nuages font marcher la maison… Les toiles d’araignées se déchiren…
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade. Mais aujourd’hui les paroles sont plus fortes, les gestes sont plus grands, et le bruit plus joyeu...
Des trous du mur, des trous de la… X se battent. Qui les prendra ? Il n’y a personne à la table, pers… Quelqu’un veut sortir.
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
De ses épaules larges, contre l’ombre qui danse sur le mur, il tient la place où les autres têtes passeraient. L’instrument est une guitare dont les notes ne vont pas assez haut. Person...
Dans la lutte implacable de l’homm… Dans la mécanique sévère le cylind… L’homme né vigoureux progresse au… La campagne est déserte et sinistr… Mais personne ne passe
Plus loin le verre blanc cassa Les yeux au plafond se levèrent Sur le ciel d’aujourd’hui Un soleil faux qui luit Un rayon dans la glace
La maison qui ne monte plus s’immobilise net dans le paysage. Mais le soir des lumières courent des fenêtres à travers les arbres. J’ai deviné ton regard qui transparaît sous tes paupiè...
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
La– vie est simple et gaie Le soleil clair tinte avec un brui… Le son des cloches s’est calmé Ce matin la lumière traverse tout Ma tête est une rampe allumée
Le champ s’incline à la lumière Au bas du ciel bleu plus serein La route court sous la poussière Mais le soleil n’y est pour rien La voix qui monte est sans éclat
Le vent trop fort ferme ma porte Emporte mon chapeau comme une feui… Tout a disparu dans la poussière Qui sait ce qu’il y a par derrière Un homme court sur l’horizon
Nous ne sommes plus là Les autres sont venus Pendant la nuit Je suis derrière Les visages que j’ai connus