#ÉcrivainsFrançais
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Un œil se ferme Au fond plaquée contre le mur la p… Des idées s’en vont pas à pas On pourrait mourir Ce que je tiens entre mes bras pou…
Non Le personnage historique Et là le soleil s’arrêtait C’était un homme qui passait Le cheval si maigre
Les plaques de soleil de lait bleu ciel Et la joie des oreilles sur le cou… Marteau pilon soleil de plomb
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
Le soleil rôdait encore autour de… Quand on ouvrit la fenêtre Les ivrognes sont toujours là Mais la chanson qui montait à la n… Maintenant quelle voix m’appelle
Enfin me voilà debout Je suis passé par là Quelqu’un passe aussi par là maint… Comme moi Sans savoir où il va
Le mélange des voix des êtres sous… les frissons des arbres l’étreinte des revirements de fumé… le recul des mains le cœur assassi… Tout l’or et le sang les poitrines…
Sur les murs de cette salle, où le festin a lieu les traces de ta vie modeste et fade. Mais aujourd’hui les paroles sont plus fortes, les gestes sont plus grands, et le bruit plus joyeu...
Les ailes sont chargées Le désespoir s’envole Mes mains ont laissé descendre len… Le rideau sans plis de ma mémoire Mais l’intermède du jour bruyant s…
Le vent trop fort ferme ma porte Emporte mon chapeau comme une feui… Tout a disparu dans la poussière Qui sait ce qu’il y a par derrière Un homme court sur l’horizon
Le temps passé dans une chambre où tout est noir reviendra plus tard. Alors j’apporterai une petite lampe et je vous éclairerai. Les gestes confus se préciseront. Je pourrai donner un s...
Quelqu’un parle et je suis debout Je vais partir là-bas à l’autre bo… Les arbres pleurent Parce qu’au loin d’autres choses m… Maintenant la tête a tout pris
Net et fixe Son œil s’écarte du plan blanc L’instrument est plus près des car… Les formes du paysage clair Et les traits violents du visage
La teinte grise au cadran lumineux Au cadran sans aiguilles Au regard bleu Au bord de cette ville dont le clocher s’endort