"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Or, malgré ta cruauté Affectée, et l’air très faux De sale méchanceté Dont, bête, tu te prévaux J’aime ta lasciveté !
Ô Cloître Saint-Merry funèbre ! s… Je ne foule jamais votre morne pav… Sans frissonner devant les affres… Toujours ton mur en vain recrépit… Ô maison Transnonain, coin maudit,…
Ce livre ira vers toi comme celui… S’en alla vers la Ville. Il fut chassé de Rome ; un coup b… Loin de mon fils m’exile. Te reverrai-je ? Et quel ? Mais q…
La chambre, as-tu gardé leurs spec… Ô pleine de jour sale et de bruits… La chambre, as-tu gardé leurs form… Par ces crasses au mur et par quel… Ah fi ! Pourtant, chambre en garn…
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
La saison qui s’avance Nous baille la défense D’user des us d’été, Le frisson de l’automne Déjà nous pelotonne
La lune est rouge au brumeux horiz… Dans un brouillard qui danse, la p… S’endort fumeuse, et la grenouille… Par les joncs verts où circule un… Les fleurs des eaux referment leur…
Je vois un groupe sur la mer. Quelle mer ? Celle de mes larmes. Mes yeux mouillés du vent amer Dans cette nuit d’ombre et d’alarm… Sont deux étoiles sur la mer.
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
Vous m’avez demandé quelques vers… Ce mien livre, d’émoi cruel et de… Déjà loin dans mon Œuvre étrange q… Et dévale, flot plus amer de jour… Qu’en dire, sinon : « Poor Yorick…
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,
Sa tête fine dans sa main toute pe… Elle écoute le chant des cascades… Et, dans la plainte langoureuse de… Perçoit comme un écho béni du nom… Elle a fermé ses yeux divins de cl…
QUEL délicieux repas Tu feras (Si les dieux te prêtent vie) Chez moi, pourvu toutefoi Qu’avec toi
Le coucher d’un soleil de septembr… La plaine morne et l’âpre arête de… Et de la brume au loin l’installat… Le Guadarrama pousse entre les sa… Son flot hâtif qui va réfléchissan…
Vers les prés le vent cherche nois… Aux girouettes, détail fin Du château de quelque échevin, Rouge de brique et bleu d’ardoise, Vers les prés clairs, les prés san…