"Bonheur (1891)"
#ÉcrivainsFrançais
Tes cheveux bleus aux dessous roux… Tes yeux très durs qui sont trop d… Ta beauté qui n’en est pas une, Tes seins que busqua, que musqua Un diable cruel et jusqu’à
Elle jouait avec sa chatte, Et c’était merveille de voir La main blanche et la blanche patt… S’ébattre dans l’ombre du soir. Elle cachait – la scélérate ! –
Beauté des femmes, leur faiblesse,… Qui font souvent le bien et peuven… Et ces yeux, où plus rien ne reste… Que juste assez pour dire : “ asse… Et toujours, maternelle endormeuse…
Mon Charles, autrefois mon frère,… Encore tel malgré toutes les lois… Te souvient-il d’un amoureux qui n… Et verse le secret de son cœur dan… Ah, de vivre ! Et te souvient-il…
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Et maintenant, aux Fesses ! Je veux que tu confesses, Muse, ces miens trésors Pour quels—et tu t’y fies— Je donnerais cent vies
Ma douce main de maîtresse et d’am… Passe et rit sur ta chère chair en… Rit et jouit de ton jouissement. Pour la servir tu sais bien qu’ell… Et ton beau corps faut que je le d…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
J’ai naguère habité le meilleur de… Dans le plus fin pays d’eau vive e… Quatre tours s’élevaient sur le fr… Et j’ai longtemps, longtemps habit… Le mur, étant de brique extérieure…
Comme l’Église est bonne en ce siè… D’orgueil et d’avarice et de tous… D’exalter aujourd’hui le caché des… Le doux entre les doux à l’ignoran… Et le mortifié sans pair que la F…
Les donneurs de sérénades Et les belles écouteuses Echangent des propos fades Sous les ramures chanteuses. C’est Tircis et c’est Aminte,
Cruel Hérode, noir Péché, De tes sept glaives tu poursuis Les innocents, lesquels je suis Dans mes cinq sens,—et, qu’empêché Me voici pour, las ! me défendre !
Baiser ! rose trémière au jardin d… Vif accompagnement sur le clavier… Des doux refrains qu’Amour chante… Avec sa voix d’archange aux langue… Sonore et gracieux Baiser, divin…
Les petits ifs du cimetière Frémissent au vent hiémal, Dans la glaciale lumière. Avec des bruits sourds qui font ma… Les croix de bois des tombes neuve…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire