Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Mon compagnon de jeux me disait qu… « Viens aux abeilles, viens ! » E… Nous allions, curieux et troublés,… Je vois encore le bois de pins qui… J’entends ses longs rameaux bercés…
Tra la la la la lère ! Les arbres sont contents, Les flots dansent, la terre A tout au plus vingt ans. La nature palpite
J’ai ceint mes reins, j’ai pris le… Car mon âme souvent n’est qu’une p… Et je vais, demandant sans trêve u… En tous lieux où l’on trouve une r… Or, hier, j’ai gravi l’escarpement…
Il était sans amour ; il souffrait… Il avait travaillé longtemps. C’é… Son front, sombre, penchait, jamai… Ne l’ayant éclairé d’un rayon d’am… Tous, rapides, voyant cet air morn…
On a congé parfois dans ce Paris… Et l’on peut oublier le bruit, bro… L’incessant tourbillon, le travail… C’est quand on est malade et chez… Il faut, bon gré, malgré, songer à…
« Monsieur Jean, vous lirez l’alp… J’entends encore ce mot qui faisai… J’avais six ans, j’aimais les beau… Mais suivre ces longs traits qui n… Ce n’était point ma joie et je ne…
Les taureaux de Camargue, errant… Ardents comme autour d’eux la faro… Heurtant leur corne aiguë au tronc… Boivent à pleins naseaux, avec les… La force et l’âpre orgueil des lib…
« Connais-tu le pays où fleurit l’… Ainsi chante Mignon sous un ciel… Les yeux vers l’horizon immense. Elle voit en esprit ce que nomme s… Et quand le dernier mot se meurt,…
La nuit vient d’effacer les formes… Mon cœur, plein de cette ombre où… Soupire, tout chargé de tristesse… D’où vient ce triste espoir, nuits… Sous le ciel constellé le vent du…
A midi, la grand’route, éclatante,… Sous l’éclat des rayons que sa bla… Et, miroir aveuglant, force à clor… Tous les jours, sous le feu qui ru… Même à midi, l’on voit cheminer su…
Dans les taillis vivants l’insecte… Oh ! la grande herbe verte et le g… Dieu travaille : oubliez ce que le… Les oiseaux tout joyeux jasent dan… L’air est calme ; le ciel resplend…
A dos d’âne, on gravit la montagne… Un chemin large, plein de rocs et… Entre des buissons verts, sous un… L’ânière en grand chapeau pousse l… Dont le pas routinier vous berce s…
Concert prodigieux des ondes et de… Long retentissement des flots sur… Majesté de la mer débordant de lum… Fourmillement profond d’ombres et… La mer, suprême tombe, est la sour…
Novembre. Le vent d’Est pleure, e… S’amassent les brouillards tristes… Les oliviers sont noirs d’olives,… Des roseaux sur les bords du marai… Effrayant les gros becs à grand br…
Je regrette les vieux vaisseaux do… Large et lourde, pendait du faîte… Et leurs pesants rouleaux de toile… Faisait fléchir l’antenne à l’imme… La marche du meilleur navire était…