Les jeunes croyances (1867)
#ÉcrivainsFrançais
Lorsque j’étais enfant surtout, j’… Où sur leurs pieux rugueux on étal… De la bastide, afin d’y veiller sa… La claie aux roseaux drus où doit… Les pieux sont reliés de traverses…
Mon père est mort, voici vingt ans… Enfant, je n’ai pas vu partir le c… Mais je sais la tristesse affreuse… Ce char glacé portant les morts co… Au milieu des passants affairés, e…
Vous m’êtes chers, cyprès du Nord… Malgré votre feuillage habité des… Car vous me rappelez d’autres cypr… Mes cyprès odorants dont la forme… Vos frères du Midi, tout l’horizo…
Où va ce plongeur sublime, Intrépide en son travail ? Il va ravir à l’abîme Ses perles et son corail. Où va cet oiseau qui passe
Cigales, mes sœurs, Qu’importe à nos cœurs La richesse des granges pleines ? Pourvu que nos voix Sonnent par les bois
Nice, trop petite naguère, S’agrandit, libre de tout mur, Ni port marchand, ni port de guerr… Toute blanche au bord de l’azur. Nice a pour orgueil d’être blanche
Puisque la vérité sublime Vous embrase d’un saint désir Et vous pousse à combler l’abîme Que notre siècle doit franchir ; Puisque le beau nom de justice
Oh ! l’heure douce et calme, en ét… Le soleil à demi caché par la coll… Immobiles tantôt, les arbres langu… A présent sont émus par des souffl… Au bourdonnement lourd de l’heure…
Le printemps donne à tout la vie e… Chaque tige a sa fleur ; chaque fl… L’azur est souriant. La nature en… Met des trésors d’amour et de bonh… Dans les arbres, songeurs profonds…
Qui donc a pu graver ces deux vers… Près des flots, sur la porte en fe… Qui que tu sois, passant, merci.… Écrivit ces deux vers sans penser… Tu passais ; tu rêvais ; tu t’assi…
L’un dit que nier Dieu, c’est ne… Cet homme ne sait pas sanctifier l… Et, lâchement, il a du Mal suivi… Car c’est un sentier rude et serré… Du moins, humble pécheur, le timid…
A midi, la grand’route, éclatante,… Sous l’éclat des rayons que sa bla… Et, miroir aveuglant, force à clor… Tous les jours, sous le feu qui ru… Même à midi, l’on voit cheminer su…
La forge retentit de longs fracas… Tout hurle, tout gémit, et, dans l… Sous le soufflet robuste un noir b… Est le naissant foyer du splendide… La machine à vapeur, rauque, siffl…
Il lui disait : « Je suis ton frè… Ne te souvient-il plus des cieux ? Leur doux reflet brille en tes yeu… Tu n’es pas l’enfant de la terre !… Et l’ange souriait et lui tendait…
La ville c’est le port, où tout s’… Où la voile gaîment revient se rep… Le quai, seuil de la mer et seuil… Première marche, sûre et large, du… Venez là, sur ce quai : là, vous v…