Poésies livre III
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Pour M. le duc de Bellegarde, À madame la princesse de Conti. 1608. Dure contrainte de partir, À quoi je ne puis consentir,
Sur un livre de fleurs qu’il avait… 1602 ou 1603. Quelques louanges nonpareilles Qu’ait Apelle encore aujourd’hui, Cet ouvrage plein de merveilles
(À la vicomtesse d’Auchy.) 1608. Il n’est rien de si beau comme Ca… C’est une oeuvre où Nature a fait… Et notre âge est ingrat qui voit t…
Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…
Stances sur la mort de sa fille. 1599. Ta douleur, Du Perrier, sera donc… Et les tristes discours Que te met en l’esprit l’amitié pa…
Stances. Quoi donc, ma lâcheté sera si crim… Et les voeux que j’ai faits pourro… Que je quitte Madame, et démente… Dont je lui promettais une amour é…
À la Reine Marie de Médicis. (Pendant sa régence.) 1611. Objet divin des âmes et des yeux, Reine, le chef-d’œuvre des cieux,
(Pour M. de La Ceppède, premier… Des Comptes de Provence, au sujet… Spirituels sur la vie et la passio… 1612. J’estime La Ceppède, et l’honore,…
(Imitée du latin de Hugues Grotiu… 1604. Trois ans déjà passés, théâtre de… J’exerce de deux chefs les funeste… Et fais émerveiller tous les yeux…
Aux Dames, pour les demi-Dieux ma… Neptune, dans le carrousel des qua… En mars 1606. Ô qu’une sagesse profonde Aux aventures de ce monde
(À mademoiselle de Conti, Marie d… Morte douze ou quatorze jours aprè… 1610. Tu vois, passant, la sépulture D’un chef-d’œuvre si précieux
Fragments d’une ode. Les peuples, pipés de leur mine, Les voyant ainsi renfermer, Jugeaient qu’ils parlaient de s’ar… Pour conquérir la Palestine,
Ceux-ci, de qui vos yeux admirent… Pour un fameux honneur qu’ils brûl… Partis des bords lointains d’une t… S’en vont au gré d’Amour tout le… Ce grand démon, qui se déplaît
x<… 1608. Quel astre malheureux ma fortune a… À quelles dures lois m’a le Ciel a… Que l’extrême regret ne m’ait poin…
FRAGMENTS D’UNE ODE AU ROI HENRI… 1596. Soit que, de tes lauriers la grand… D’un cœur où l’ire juste et la glo…