(Sur la réduction de Marseille… les ordres du duc de Guise, gouver… 1596. Enfin, après tant d’années, Voici l’heureuse saison,

Chanson pour M. le duc de Bell… de la plus haute condition qui fût… 1616. Mes yeux, vous m’êtes superflus ; Cette beauté qui m’est ravie,

STANCES. 1608. Laisse-moi, Raison importune, Cesse d’affliger mon repos, En me faisant mal-à-propos

STANCES. 1596. Enfin cette beauté m’a la place re… Qu’elle avait contre moi si longte… Mes vainqueurs sont vaincus ; ceux…

Stances pour M. le duc de Montpen… qui demandait en mariage Madame C… La princesse de Navarre, sœur d’H… 1591 ou 1592. Beau ciel, par qui mes jours sont…

C’est faussement qu’on estime Qu’il ne soit point de beautés Où ne se trouve le crime De se plaire aux nouveautés. Si ma dame avait envie

Au nom du duc de Bellegarde. 1610. Enfin l’ire du ciel et sa fatale e… Dont j’avais repoussé tant d’injus… Ont détruit ma fortune, et, sans m…

Fait conjointement avec la duch… de Bellegarde et le marquis de Ra… 1606. Qu’autres que vous soient désirées… Qu’autres que vous soient adorées,

À la Reine Marie de Médicis. (Pendant sa régence.) 1611. Objet divin des âmes et des yeux, Reine, le chef-d’œuvre des cieux,

Pour M. Le duc de Bellegarde. Sur la guérison de Chrysante. 1616. Les destins sont vaincus, et le fl… De leur main insolente a fait tomb…

(À mademoiselle de Conti, Marie d… Morte douze ou quatorze jours aprè… 1610. Tu vois, passant, la sépulture D’un chef-d’œuvre si précieux

(À l’occasion de la goutte dont He… fut attaqué au mois de janvier 160… Quoi donc ! c’est un arrêt qui n’é… Que rien n’est ici-bas heureux par… Et qu’on ne peut au monde avoir co…

Sur l’éloignement prochain de la c… La Roche, ou de la vicomtesse d’A… 1608. Le dernier de mes jours est dessus… Celle dont mes ennuis avaient leur…

Fragments d’une ode. Les peuples, pipés de leur mine, Les voyant ainsi renfermer, Jugeaient qu’ils parlaient de s’ar… Pour conquérir la Palestine,

Au sujet de son Histoire Sainte. 1628. La Garde, tes doctes écrits Montrent les soins que tu as pris À savoir tant de belles choses ;