Impressions et souvenirs (1922)
#ÉcrivainsFrançais
Couchants marins, orgueil des ciel… Pour mieux voir s’exalter leur lum… Viens sur la dune à l’heure où ren… Et regarde le soleil d’août, sangl… Descendre au large des Etaux.
Comme je n’ai pu vous celer Le vieux péché qui me harcèle, Ô mon âme, vous faites celle Qui ne veut pas se consoler. Et vous dites : « La bête immonde
Salaün chantait sous les deux dole… —Las de son stérile et morne veuva… Mon cœur est parti sur la mer sauv… Avec les pluviers et les goélands. « Prends garde ! » disaient les pl…
Je vous envoie une branche De cet ajonc grêle et ras Qu’ici l’on nomme algeiras, Dont la fleur est presque blanche. Plante ingrate au teint roussi
Sans qu’il t’en coûte rien, Lucy, Que l’humble dépense d’un geste, Veux-tu dans ta demeure agreste Couler des jours francs de souci ? Chaque matin, à la seconde
On entendait chanter d’invisibles… La mer montait. Des feux luisaien… À l’horizon, baigné de vapeurs vio… Le soir d’automne ouvrait ses yeux… Et raidis par l’extase à l’avant d…
Le soir a tendu de sa brume Les peupliers de Keranroux. La première étoile s’allume : Viens-t’en voir les peupliers roux… Fouettés des vents, battus des grê…
Le marais dort, crispé d’un gel ta… Dans la brume qui s’épaissit et se… Tour à tour, la Sologne étend sa… Nous sommes là depuis une heure, l… Et tout à coup, tandis qu’une étoi…
L’amour ne chante pas ; il ne sour… Ni le matin, quand l’aube argente… Ni quand l’ombre, le soir, s’épanc… Ni quand le rouge été flamboie à s… Et du brouillard qui dort dans l’é…
Sur la lande et dans les taillis, Cueillez l’ajonc et la bruyère, Doux compagnons à l’âme fière, Ô jeunes gens de mon pays ! * * * * * *
Nous avions relâché la veille à P… Aucun de nous n’avait consulté l’a… Et nous ne savions pas que Noël é… Il ventait doux. Le ciel était co… Tant il y fleurissait d’étoiles, q…
Je t’apporte un cœur bien las. Ne me dis plus que tu m’aimes ; Une autre m’a dit, hélas ! Les mêmes choses, les mêmes. C’était avec ses yeux d’or
Puisque le hasard m’y ramène, Pour mon malheur ou pour mon bien, Je veux que tu saches combien Ma maîtresse fut inhumaine. Pour l’oublier, j’ai tour à tour
L’horloge a tinté quatre fois. Qu’est-ce donc, ces folles risées… Comme un cygne aux ailes rosées, L’aurore glisse au ras des bois. Ce sont les filles de Pont-Croix
Viens au soleil, mon doux ami : co… Efface de tes yeux la lune acariât… Il fallait que la foudre incendiât… Et que le vent soufflât sur l’atre… Les clos d’Alésia ne sont-ils plu…