L’Adieu (1873)
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Nos coteaux, les plus purs de tous… Que, n’eût été la Grèce, auraient… Au bas de leurs sentiers poudrés d… Ont comme une hydre énorme éparse… La Ville nous fascine, étant moin…
Les bois ont dépouillé leur costum… A dû livrer au vent sa riche brode… Et les merles moqueurs, qui siffla… Ne savent où cacher leur vol vif e… Voici venir l’hiver, ceint avec ma…
Ainsi que la lueur d’une lampe d’o… Veillant dans une alcôve ou devant… Ainsi, rayon d’amour ou soupir imm… Le feu de la pensée éclaire le fro… Ta lucide beauté ne connaît point…
Pour les rêveurs, la source a touj… Songeuse avec son cou flexible et… Avec sa lèvre humide, avec ses bra… Au jeune athlète lier des poussièr… Les bois cachent encor la cynique…
Pendant qu’au loin la grave et len… Des cloches se répand, pareille au… Portant les saints de bois et les… La procession va, se développe et… Les bannières d’abord, presque san…
Voici l’asile pur des champs : voi… Le potager étroit, le grand clos d… La cour vaste où les coqs grattent… L’aire, et le grain fécond où somm… Voici la prison blanche où le farn…
En plein air, sur l’estrade en pla… Aux sons du cuivre aigu faussant l… Pendant que les buveurs trinquent… L’hercule fait saillir les muscles… Ses deux bras sont croisés dans le…
Quand elle part, sa grâce invente… Charmants, un gant laissé, la fenê… « Elle avait oublié de dire quelqu… C’est toujours puéril et c’est exq… La dernière caresse a fait ses bra…
J’ai regardé longtemps tes yeux, v… J’ai regardé longtemps tes yeux, v… Dans l’azur délicat dont leur moir… Le rêve qui repose et berce la pen… J’ai regardé tes yeux pour y cherc…
Brisé de mes élans insensés vers l… Triste, j’ai replié les ailes de m… Et, lâchement tombé dans les bras… La volupté m’endort sur ses lèvres… Et pourtant dans mon sang court un…
Les reîtres à panache et les mauva… Dont le rire tintait aux vitres de… Aimaient le vin nouveau pour tremp… Ils avaient bonne mine et hautaine… Sur les verres tremblant au fracas…
Il ne faut pas les appeler cruelle… Elles le sont tout naturellement, Comme les fleurs, quelquefois les… Dont le parfum fait qu’on meurt en… Quand la fraîcheur pure de leur ha…
L’azur du soir s’éteint rayé de ba… Comme hors de son lit un fleuve dé… La lune se répand, et l’éther inon… Ruisselle, des coteaux aux plaines… Sous le voile muet de ces lueurs d…
La courbe n’eut jamais d’inflexion… Excepté quand elle est le sein pur… Elles laissent tomber leurs ondes… Dans la succession des lignes sans… Une ombre d’or que font des duvets…
Le ciel, il faut le ciel vaste com… A mon front ivre d’air, à mon cœur… Le ciel sublime, avec son grand so… Et ses astres cloués à sa voûte so… Avec ses soirs troublés, son auror…