#ÉcrivainsFrançais
Prestige, disais-tu, de notre lamp… Ces hôies de nos soirs. Ils tirent jusqu’à nous leurs barq… Ils connaisseni notre désir de l’é… La nuit parfaite dans le ciel cria…
Le feu a pris, c’est là le destin… Il va toucher leur cœur de pierrai… Lui qui venait au port de toute ch… Aux rives de matière il se reposer… Il brûlera.
Le feu hantait nos jours et les ac… Son fer blessait le temps à chaque… Le vent heurtait la mort sur le to… Le froid ne cessait pas d’environn… Ce fut un bel été, fade, brisant e…
L’oiseau des ruines se dégage de l… Il nidifie dans la pierre grise au… Il a Franchi toute douleur, toute mémoi… Il ne sait plus ce qu’est demain d…
On dit qu’un dieu chercha Sur les eaux closes Comme un rapace veut Sa proie lointaine Et d’un cri répété,
L’orage qui s’attarde, le lit défa… La fenêtre qui bai dans la chaleur Et le sang dans sa fièvre : je rep… La main proche à son rêve, la chev… A son anneau de barque retenue
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Quelle parole a surgi près de moi, Quel cri se fait sur une bouche ab… A peine si j’entends crier contre… A peine si je sens ce souffle qui… Pourtant ce cri sur moi vient de m…
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Ce souvenir me hante, que le vent… D’un coup, là-bas, sur la maison f… C’est un grand bruit de toile par… On dirait que l’étoffe de la coule… Vient de se déchirer jusqu’au fond…
Il me semble, ce soir, Que le ciel étoile, s’élargissant, Se rapproche de nous ; et que la n… Derrière tant de feux, est moins o… Et le feuillage aussi brille sous…
Veilleuse de la nuit de janvier su… Comme nous avions dit que tout ne… J’entendais plus avant dans une om… Un pas de chaque soir qui descend… Ce que je tiens serré n’est peut-ê…
Ainsi jusqu’à la mort, visages réu… Gestes gauches du cœur sur le corp… Et sur lequel tu meurs, absolue vé… Ce corps abandonné à tes mains aff… L’odeur du sang sera ce bien que t…
Tu demandes le nom De cette maison basse délabrée. C’est Jean et Jeanne en un autre pays