#ÉcrivainsFrançais
Heurte, Heurte à jamais. Dans le leurre du seuil. A la porte, scellée. A la phrase, vide.
La salamandre surprise s’immobilis… Et feint la mort. Tel est le premier pas de la consc… Le mythe le plus pur. Un grand leu traversé, qui est esp…
Et venais-tu pour la nuque ployée Là-haut, dans cette chambre, non,… D’orage, et cette main dans la tie… D’espoir, de joie, puis relever le… Vers la cime parfaite des montagne…
Tu demandes le nom De cette maison basse délabrée. C’est Jean et Jeanne en un autre pays
Il v avait qu’il fallait détruire… Il y avait que le salut n’est qu’à… Ruiner la lace nue qui monte dans… Marteler toute forme toute beauté. Aimer la perfection parce qu’elle…
Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a… Où commence invisible l’autre chem… (Car tout instant terrestre est un…
Es-tu vraiment morte ou joues-tu Encore à simuler la pâleur et le s… O toi passionnément au sommeil qui… Comme on ne sait que mourir ? Es-tu vraiment morte ou joues-tu
Nous ne nous voyons plus dans la m… Nous n’avons plus les mêmes yeux,… L’arbre est plus proche et la voix… Nos pas sont plus profonds, parmi… Dieu qui n’es pas, pose ta main su…
C’est l’aube. Et cette lampe a-t-elle donc fini Ainsi sa tâche d’espérance, main p… Dans le miroir embué sur la fièvre De celui qui veillait, ne sachant…
Le lit, la vitre auprès, la vallée… La magnifique rapidité de ces nuag… La griffe de la pluie sur la vitre… Comme si le néant paraphait le mon… Dans mon rêve d’hier
Ton épaule soit l’aube, ayant port… Tout mon obscur déchirement de nui… Et toute cette écume amére des ima… Tout ce haut rougeoiement d’un imp… Ton corps voûte pour nous son heur…
Nous sommes revenus à notre origin… Ce fut le lieu de l’évidence, mais… Les fenêtres mêlaient trop de lumi… Les escaliers gravissaient trop d’… Qui sont des arches qui s’effondre…
Aux orties et aux pierres. Aux « mathématiques sévères ». Au… J’allais, je me perdais. Et les m… A la « Madone du soir ». A la gra… A l’hiver oltr’Arno. A la neige e…
Je nommerai désert ce château que… Nuit cette voix, absence ton visag… Et quand tu tomberas dans la terre… Je nommerai néant l’éclair qui t’a… Mourir est un pays que tu aimais.
La branche– Poéme Poéme / Poémes d’Yves Bonnefoy Branche que je ramasse à l’orée de… Mais pour t’abandonner à la fin du… Cachée parmi des pierres, dans l’a…