Un tertre, où le gazon diversement… Des ravins où l’on voit grimper le… Un vallon, abrité sous un réseau d… Pleines de nids d’oiseaux, de murm… Qu’un vent joyeux remue, et d’où t…

Un sculpteur, qui vivait voilà bie… Fit pour le noir Pluton, qu’en le… Les ombres ont horreur de voir au… Ce temple, qu’aujourd’hui Dieu do… Le 17…

Pendant que la mer gronde et que l… Et que sur l’horizon les tumultes… Ce veilleur, le poète, est monté s… Ce qu’il veut, c’est qu’enfin la c… Jadis, dans les temps noirs comme…

Oh… Oh… Ô mes lettres d’amour, de vertu, d… C’est donc vous ! Je m’enivre enc… Je vous lis à genoux.

Voici juin. Le moineau raille Dans les champs les amoureux ; Le rossignol de muraille Chante dans son nid pierreux. Les herbes et les branchages,

L’amour, panique De la raison, Se communique Par le frisson. Laissez-moi dire,

Tu peux, comme il te plaît, me fai… Comme le soleil fait serein ou plu… L’azur dont il est l’âme et que sa… Tu peux m’emplir de brume ou m’ino… Du haut de ta splendeur, si pure q…

Je m’étais endormi la nuit près de… Un vent frais m’éveilla, je sortis… J’ouvris les yeux, je vis l’étoile… Elle resplendissait au fond du cie… Dans sa blancheur molle, infinie e…

Tu ne veux pas aimer, méchante ? Le printemps est triste, vois ; Entends-tu ce que l’oiseau chante Dans la sombre douceur des bois ? Sans l’amour rien ne reste d’Ève ;

Aux champs, compagnons et compagne… Fils, j’élève à la dignité De géorgiques les campagnes Quelconques où flambe l’été ! Flamber, c’est là toute l’histoire

Vicomte de Foucault, lorsque vous… L’éloquent Manuel de vos mains au… Comme l’océan bout quand tressaill… Le peuple tout entier s’émut et fr… On vit, sombre lueur, poindre mil…

II. Ma fille, va prier !– D’abord, su… Qui berça tant de nuits ta couche… Pour celle qui te prit jeune âme d… Et qui te mit au monde, et depuis,…

Oh ! Quand donc aurez-vous fini,… De jaser au milieu des branches et… Que nous nous expliquions et que j… Rouge-gorge, verdier, fauvette, to… Oiseaux, je vous entends, je vous…

Autrefois inséparables, Et maintenant séparés. Gaie, elle court dans les prés, La belle aux chants adorables ; La belle aux chants adorés,

Sois avare du moindre écart d’honn… Sois juste en détail. Voir des de… Mentir pour un plaisir, tricher po… Cela ne te fait rien perdre en ta… Eh bien, prends garde. Tout finit…