Odelettes (1856)
#ÉcrivainsFrançais
Que de fois sous les tilleuls, Tous deux seuls Avec ma maîtresse blonde, Ton livre m’a fait songer, Étranger
Dans le vieux cimetière, où cette… Sur l’aubépine en fleurs A versé, dans un flot que le solei… Des parfums et des pleurs ; Au coucher du soleil, dans le vieu…
Quand vous venez, ô jeune beauté b… Par vos regards allumer tant de fe… On pense voir Cypris, fille de l’… Épanouir et les Ris et les Jeux. Chacun, épris d’un désir langoureu…
Je sais qu’elle est pareille aux… Elle a des rayons d’astre éclos so… Et je vois aux candeurs de son pie… Qu’il a marché longtemps sur les t… Sa bouche harmonieuse et de charme…
Camille, quand la Nuit t’endort s… Quand un rêve céleste emplit tes y… Quand tes regards, lassés des fati… Se reposent partout sur des routes… Dans le pays charmant des molles r…
La fille du gai Thespis Est tout endormie Et penche son front de lys Sur sa main blêmie. Ses Bacchantes aux doux yeux
Il chante encor, l’essaim railleur… Bien protégé par l’épine et le hou… Que le zéphyr caresse par bouffées… Diane aussi, l’épouvante des loups… Au fond des bois cache son cœur ja…
Près de la pierre close Sous laquelle repose Théophile Gautier, (Non tout entier, Car par son œuvre altière
Je veux chanter ma ballade à mon t… Ô Poésie, ô ma mère mourante, Comme tes fils t’aimaient d’un gra… Dans ce Paris, en l’an mil huit c… Pour eux les docks, l’autrichien,…
Sur ton front brun comme la nuit, Maître, aucun fil d’argent ne luit… Et nul Décembre sacrilège, Ne met sa neige. Pourtant, dans ton labeur sacré,
Auguste, mon très bon, qui toujour… Pour les yeux en amande, Sais-tu qu’hier matin j’ai beaucou… Et que je me demande Pourquoi décidément ce monde où no…
Même en deuil pour cent trahisons, À vos soleils nous embrasons Nos cœurs meurtris, jeunes saisons… Ô premières roses trémières ! Ô premières amours ! Premières
Mon Loys, j’ai sous vos prunelles… Oublié, dans mon cœur troublé, Mon époux qui s’en est allé Pour combattre les infidèles. Quand nous le croirons loin encor,
Ce que je veux rimer, c’est un con… Surtout n’y cherchez pas la trace… L’air est sans fioriture et le fon… D’abord j’ai de tout temps exécré… Puis je n’ai jamais eu que des goû…
Sans doute elles vivaient, ces gra… Qu’une aveugle machine a sans piti… Ne souffraient-elles pas lorsque l… À déchiré leur chair du matin jusq… Et lorsque de leur sein, meurtri d…