Le poète naïf, qui pense avant d’é… S’étonne, en ce temps-ci, des chos… Au théâtre parfois il se tourne, e… La gaîté des badauds qui va se dép… Pour un plat calembour, des loges…

Sonnet. Toi que tes grands aïeux, du fond… Accablent sous le poids d’une illu… Tu n’auras pas senti ton nom dans… Éclore, et comme une aube y faire…

Vous aviez l’âge où flotte encore La double natte sur le dos, Mais où l’enfant qu’elle décore Sent le prix de pareils fardeaux ; L’âge où l’œil déjà nous évite,

J’ai mal placé mon cœur, j’aime l’… Et c’est pour m’exploiter qu’il fa… Ce petit traître ! Je le sais. Sa mère, quand je viens, me devine… Sentant que je suis là pour lui pl…

Il gît au fond de quelque armoire, Ce vieil alphabet tout jauni, Ma première leçon d’histoire, Mon premier pas vers l’infini. Toute la genèse y figure ;

Ce beau printemps qui vient de naî… À peine goûté va finir ; Nul de nous n’en fera connaître La grâce aux peuples à venir. Nous n’osons plus parler des roses…

Si tu m’appartenais (faisons ce rê… Je voudrais avant toi m’éveiller l… Pour m’accouder longtemps près de… Egal et murmurant comme un ruissea… J’irais à pas discrets cueillir de…

J’ai mon sérail comme un prince d’… Riche en beautés pour un immense a… Je leur souris selon ma fantaisie… J’aime éternellement la dernière c… Et je les choisis tour à tour.

Au temps où les plaines sont verte… Où le ciel dore les chemins, Où la grâce des fleurs ouvertes Tente les lèvres et les mains, Au mois de mai, sur sa fenêtre,

Du bonheur qu’ils rêvaient toujour… Les couples exaucés ne jouissent q… Moins ému, leur baiser ne sourit n… Le nid de leur tendresse en devien… Puisque l’œil assouvi se fatigue d…

Il est plus d’un silence, il est p… Car chaque solitude a son propre m… Les bois ont donc aussi leur façon… Et d’être obscurs aux yeux que le… On sent dans leur silence errer l’…

Sonnet. Il est tard ; l’astronome aux veil… Sur sa tour, dans le ciel où meurt… Cherche des îles d’or, et, le fron… Regarde à l’infini blanchir des ma…

Sonnet. Le fond de l’océan ravit l’œil des… Mystérieux printemps, Éden multico… Qui tressaille en silence et ne ce… Aux frais courants, zéphyrs des gl…

Sonnet. Si peu d’œuvres pour tant de fatig… De stériles soucis notre journée e… Leur meute sans pitié nous chasse… Nous pousse, nous dévore, et l’heu…

Je ne devais pas vous le dire ; Mes pleurs, plus forts que la vert… Mouillant mon douloureux sourire, Sont allés sur vos mains écrire L’aveu brûlant que j’avais tu.