#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Et des bords de l’océan à ceux de… Méditerranée déferla une marée d’incendies, de fumées e… Feu et sang Ils se levèrent tous dans les vill…
La marquise de Saperlipopette Aime la plume et le crépuscule Et les larmes qu’on imite si bien… Aime le mou, le flou, le doux, le…
Par le travers de la gueule Ramassée dans la boue et la gadoue Crachée, vomie, rejetée— Je suis le vers témoin du souffle… Déchet, rebut, ordures
Depuis que j’suis dans la marine A bord du paqu’bot Pompadour J’en ai marre de la marine Je marronne et pleur’ tous les jou…
Maréchal Ducono se page avec méfiance, Il rêve à la rebiffe et il crie au… Car il se sent déjà loquedu et mar… Pour avoir arnaqué le populo de
La belle, si tu vevix, je ferai to… Dans le décor sanglant de ma bouti… Mes couteaux seront les miroirs ma… Où le jour se lève, éclate et pâli… Je ferai ton lit creux et chaud
C’est l’appel du village aux pares… Qui chante ce matin dans mon cœur,… Tous les verres vidés, à dormir au… Où chantent les oiseaux, où les ab… Face au ciel, et cherchant dans le…
t’apporte une petite algue qui se mêlait à l’écume Mais tes cheveux sont mieux nattés que les nuages avec le vent avec les rougeurs célestes et tels avec des frémissements de vie et de ...
Rue Aubry-le-Boucher on peut te foutr… Bouziller tes tapins, tes tôles et… Où se faisaient trancher des sœurs… Portant bavette en deuil sous des…
Les putains de Marseille ont des sœurs océanes Dont les baisers malsains moisiront votre chair. Dans leur taverne basse un orchestre tzigane Fait valser les péris au bruit lourd de la m...
Comme l’espace entre eus : devenai… Le signe des mouchoirs disparut po… Eus c’était une amante aux carillo… Pâques Qui revenait de
Arrête-toi ! Je suis ici, mais tant de nuit Nous sépare qu’en vain tu fatigues… Tu te tais car l’espace, où se dis… Nous-même nous dissout et nous sao…
La porte se ferme sur l’idole de p… Rien désormais ne peut signaler à… cette maison isolée Seule l’eau peut-être se doutera d… Les clairs matins d’automne la cor…
Se glisser dans ton ombre à la fav… Suivre tes pas, ton ombre à la fen… Cette ombre à la fenêtre c’est toi… N’ouvre pas cette fenêtre derrière… Ferme les yeux.
Ils se rencontrent à minuit Ils s’embrassent en silence Ils s’étreignent jusqu’au matin. Tout le jour passe et la suivante… Et le jour suivant tout pareil