#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Ils étaient quatre qui n’avaient p… Quatre à qui l’on avait coupé le c… On les appelait les quatre sans co… Quand ils buvaient un verre, Au café de la place ou du boulevar…
Le brouillard c’est tes yeux mais… alors ? Je voudrais bien dormir mais on ti… Une rumeur monte des faubourgs com… Ta poudre de riz séduira les fosso…
Crépuscule d’été baigné de brouill… Déchiré par le bleu des ardoises d… Le bleu du ciel, le bleu de l’asph… Saignant sur une vitre où des refl… Reflet de la rivière en le feuilla…
Quand la mort sur mes seins posera… J’espère, jours d’amour que vous l… Sur les jours où mon cœur battant… J’espère que ma bouche à tels bais… En vain n’aura jamais affronté ces…
Le pylône met du noir à ses yeux L’Olympe et le paradis et les for… C’est comme les vieilles ampoules… On suce maintenant la poésie au té… de ces seins homicides et lumineux
Jamais d’autre que toi en dépit des étoiles et des solitudes En dépit des mutilations d’arbre à la tombée de la nuit Jamais d’autre que toi ne poursuivra son chemin qui est le mien Jama...
Isabelle rencontra Marie au bas de l’escalier : « Tu n’es qu’une chevelure ! lui dit… —et toi une main. —main toi-même, omoplate !
Au détour du sentier dans la monta… La carcasse du mulet mort l’autre… Sous la charge trop lourde qu’il p… Achève de blanchir sous le soleil… Le parfum du thym et le bourdonnem…
Le matin s’écroule comme une pile… En milliers de tessons de porcelai… Et de cailloux Et de cascades Jusque sur le zinc de ce bistrot t…
Mon mal meurt mais mes mains mimen… Nœuds, nerfs non anneaux. Nul nord Même amour mol ? marnes, mord Nus nénés nonne ni
La nuit grasse, penchée au bord de… Contemple les jardins du jour qui… Moins longtemps que l’éclair, sur… Ils ont fleuri. Déjà s’efface le portrait.
Quand j’ai perdu ma bien-aimée Elle était si fraîche que j’admira… Sous les voiles de deuil je perdis du même coup mes trois enfants
L’éléphant qui n’a qu’une patte A dit à Ponce Pilate Vous êtes bien heureux d’avoir deu…
La rose à voix de soprano joue la nuit du piano. Cela charme les monts et la plaine le Rhin, la
Par le travers de la gueule Ramassée dans la boue et la gadoue Crachée, vomie, rejetée— Je suis le vers témoin du souffle… Déchet, rebut, ordures