#XXeSiècle #ÉcrivainsFrançais
Depuis que j’suis dans la marine A bord du paqu’bot Pompadour J’en ai marre de la marine Je marronne et pleur’ tous les jou…
Arrête-toi ! Je suis ici, mais tant de nuit Nous sépare qu’en vain tu fatigues… Tu te tais car l’espace, où se dis… Nous-même nous dissout et nous sao…
Tu t’en iras quand ta voudras Le lit se ferme et se délace avec… de velours noir Et l’insecte brillant se pose sur… Eclate et rejoint le
La fleur des Alpes disait au coquillage : « tu… Le coquillage disait à la mer : «… La mer disait au bateau : « tu tre… Le bateau disait au feu : « tu bri…
Il en est des mythologies comme de… perdues au fond des bois Elles brûlent longuement avec des… en forme de cœur Et le ciel à leur insu flambe et r…
Quel sera, monstre, mon supplice ? Déjà, dérisoire, ton nom Devient mot d’amour et complice De ma honte et de notre union. J’adopterai, d’abord, la pose
L’étrange oiseau dans la cage aux… Je déclare que je suis le bûcheron… Un feu de Bengale inattendu a charmé ta paro… Quand je te quitte il rougit mes é…
Le paysage était fourrure, Pelage de rieurs et moissons, Brume vibrante, échos, frissons : Le voici prêt à la morsure, Il s’incarne et devient ce fauve
En descendant des collines au prin… A l’heure où la rosée brille dans… Au bruit lointain du fer battu dan… Au miroitement du jour dans l’eau… En descendant des collines au prin…
c’est le minuit passé dressant son torse nu au-dessus des beffrois et des peupliers j’appelle à moi ceux-là perdus dans les campagnes les vieux cadavres les jeunes chênes coupés les lam...
La petite Rosalie peigne ses cheveux odorant… Le vent le vent passe à travers le… La petite Rosalie n’a ni amie ni amant
Tous les vieillards dans la maison Ont détraqué leurs pendules, Il fait nuit en toute saison Dans la maison des trop crédules. Ils ont renversé les potiches
Quand tu m’aimes, qu’à tes étreint… Je m’ab ? ndonne avec émoi Pour calmer mes tourments mes crai… Mon amour parle-moi Il faut peupler les nuits hostiles
Le grand sorcier peut bien bonir p… La paix ! Le pet ! pour le gnière aux tifs p… Les vingt-deux sont sonnés, via le… C’est deux fois l’heure du bouillo…
Le chemin sur lequel je cours Ne sera pas le même quand je ferai… J’ai beau le suivre tout droit Il me ramène à un autre endroit Je tourne en rond mais le ciel cha…