xx… Elle avait de beaux cheveux, blond… Comme une moisson d’août, si longs Qu’ils lui tombaient jusqu’aux tal… Elle avait une voix étrange,
Dans ce réduit, où l’Amour en sil… Aime à rêver en cessant de jouir, Heureux qui vient avec une espéran… Et s’en retourne avec un souvenir.
Il cache des rêves fanés au pied d… Fatigué et meurtri, à grands coups… Dans sa chambre éclairée par le so… Sur le papier, il signe comme le p… Sur la chaise, il se pose, la tête…
Une première impression Peut définir l’avenir Et il suffit d’un sourire Pour une relation établir Un sourire naturel
Autrefois on vouait un saint culte… Quand sur le sol tremblaient les a… Un seul restait debout au milieu d… L’autel des cheveux blancs. La vieillesse toujours, et dans R…
Contrerime LXII. Me rendras-tu, rivage basque, Avec l’heur envolé Et tes danses dans l’air salé, Deux yeux, clairs sous le masque.
(En… Lisez et relisez, ma sœur, De Psyché l’admirable histoire : Vous y verrez que le bonheur N’est pas toujours avec la gloire.
Vous ne passerez jamais par cette… ni l’allée du milieu La tête énorme et lourde les dépas… le ciel se coupe en deux S’il y avait une autre mesure entr…
Après mille ans et plus de guerre… Les Loups firent la paix avecque… C’était apparemment le bien des de… Car si les Loups mangeaient maint… Les Bergers de leur peau se faisa…
Fable IX, Livre II. Au temps où les bêtes parlaient Non pas hier pourtant, un grave pe… Un dindon, le Nestor des dindons… Elevait quinze enfants, qui tous l…
Une honte trop grande a relevé mon front. Je me suis débarrassé de ces encombrantes guenilles et j’attends. Vous attendez aussi mais je ne sais plus quoi. Pourvu que quelque chose arriv...
Le temps passe à des gens plus vieux. La lumière froide qui sort de leurs yeux n’appelle pas le jour. Ils regardent en dedans pour ne rien voir. Des gens, des souvenirs pénibles y remue...
–N’aimes-tu pas ce temps de discrè… Aube faite de grâce et de sérénité… Où, rêvant qu’une bouche appuiera… Tu marches au hasard, distrait quo… Tu parles et tu ris, l’esprit cour…
Un grain d’ambre fondant et roulan… Ou la goutte de miel d’une abeille… Un éclair de soleil dans un rayon… Un peu d’or sous la peau pris comm… Voilà les tons subtils du cou, si…
Aime : la bouche aimée est savoure… Et ton amante nue est un rosier ve… Mais sache que le miel enivre de s… La cétoine, émeraude amoureuse des… La gloire te sourit en aïeule ridé…
Pour voir, pour juger, pour sentir Sachons nous mettre au point de vu… Ainsi l’on peut faire sortir De tout quelque grâce imprévue. Sottise, erreur, tort ou bévue,
Heureux qui sans effort admire ! Cœur humble à la fois et joyeux, Soupirant sans être envieux, Il est joyeux quoiqu’il soupire ; Divin plaisir que d’admirer,
Multipliant ses aptitudes On peut en faire des talents ; On creuse, on étend ses études ; On forme, on réforme ses plans ; Mais nul babil, nulle souplesse
Plutôt qu’un médiocre honneur, acc… Dieu juste, de mourir jeune encore… De volupté, d’orgueil puissant, av… Que j’aurais été grand si vous m’a… Car je songe, ce soir, hélas ! d’u…
Blokusine est ton gris sans chemin de traverse Des panneaux qu’on écorce de bois et vitres sur la mer Jetée en veux-tu des mâts
Assis sur l’horizon Les autres vont chanter Et nous nous avons regardé La voiture en passant souleva la p… Et tout ce qui traînait retomba pa…
C’est le grand jour des mascarades… Le bon public prend ses ébats, Et partout sur nos promenades Il fait cortège au mardi gras. Au froid, sur la dalle fangeuse,
Arrête, esprit sublime ! arrête ! Du sort crains de braver les lois… Dieu qui commande à la tempête L’agite sur le front des rois ; Son bras pourra réduire en poudre
Mes volages humeurs, plus stériles… S’en vont, et je leur dis : " Vou… S’éloigner la chaleur et le froid… Allez nicher ailleurs pour ne fâch… Ma couche de babil et ma table d’o…
Une habitude longue et douce lui f… Aimer pendant l’hiver les violette… A l’agrafe du châle un peu court s… Son doigt fin, sentant bon comme e… Un jour que le soleil piquant et c…
À J. Keck. Ma belle amie est morte, Et voilà qu’on la porte En terre, ce matin, En souliers de satin.
Malingres, laids, tendant de longs… Le corps cerclé de linge et les pi… A deux pas des maisons, sans espac… Les petits arbres vont en bandes a… Ils sont libres de croître aux pla…
Puisque c’est ton métier, misérabl… Même en ces temps d’orage, où la b… Tandis que le bras parle, et que l… Disparaît comme un songe au bruit… Puisque c’est ton métier de faire…
Je suis inutile et je suis nuisibl… Ma peau a les tons qu’il faut pour… Valets au pouvoir public attachés, Tirez, tirez donc, honnêtes archer… La première flèche a blessé mon ve…
À Mme N. Je voudrais, en groupant des souve… Imiter le concert de vos grâces my… J’y vois, par un soir d’or où vals… La libellule bleue effleurant les…