En la nef de bonne nouvelle Espoir a chargié Reconfort Pour l’amener, de par la belle, Vers mon cueur qui l’ayme si fort. A joye puist venir au port
La Pa… Bénite est l’infertile plage Où, comme la mer, tout est nud. Sainte est la chapelle sauvage De Sainte-Anne-de-la-Palud...
C est le chapitre d Avril . C est un article sur le journal C… La force ouvrière et gauche popula… Doivent gouverner le pays sans la… Tu vois .. il faut triompher du c…
Tristesse Je veux pleurer, Mais je n’y arrive pas. Je sens un coeur blessé, Qui bat si faiblement en moi.
Les portes du jour sont ouvertes, Le soleil peint le ciel de rayons… Loin de nous cette nuit dont nos â… Dans le chemin du crime ont erré s… Imitons la lumière pure
Les lumières bleues de l’ambulance… Et les bruits de pas se balancent Dans cet enfer Qu’a fait apparaître le cancer. Les battements de mon cœur
Le 21 novembre .. le poète est pa… Pour une hernie abdominale . Je ne suis pas encore mort .. je… Qui peut terrasser un battant . Beaucoup de personnes dans les cou…
Ce qu’on rêva toute sa vie Rarement on peut l’accomplir ; Ta meilleure et plus haute envie, Dans l’ombre du cœur doit vieillir… Travaille, attends, combats, espèr…
Au fond des ténèbres, Dans ces lieux funèbres, Combattons le sort : Et pour la vengeance, Tous d’intelligence,
J’ai toujours cru qu’on était deux… qu’on habitait deux maisons, l’une… Habiter deux maisons, c’est vivre… habiter deux maisons, c’est vivre… habiter deux maisons, c’est ne viv…
Il était une tour, avec porte. L’… Laissait voir, dans la mousse, un… La tour était massive, et la main… Taillé dans un seul bloc, dut pose… L’écu verdi semblait de quelque ré…
Ivre d’un parfum d’un hibiscus en… Je dessinais les contours d’un rêv… L’imaginaire secret d’une de mes n… Un éclair gravé sur une feuille de… Sur la table des songes, mes pensé…
Laisse tes yeux s’emplir des prest… Attends à ton balcon, gouache d’un… Que la noire alchimiste ait versé… Goutte à goutte, son élixir phosph… Tu le rapporteras, étincelant et s…
Le rêve est de ne pas dîner, Mais boire, causer, badiner Quand la nuit tombe ; Épuisant les apéritifs, On rit des cyprès et des ifs
C est la palette des mots . C est un article sur la colonne du… Tu vois .. le sulbaterne est assis… Fumant sa cigarette en écoutant la… Le sarrois .. sur le point d appui…
Bercés d’un fol espoir, nous aimio… Le cœur ému d’amour aux accords de… Pour nous seront ses chants, Au pays bien-aimé seront les fleur… Mais Christ le conviait aux hymne…
Voilà .. je suis bien vivant et… Je vieillis un peu .. je marche a… Ceci c est ma biographie . J adore super la queue et la bière… J écris des articles depuis des an…
À Degas. Les cheveux plantureux et blonds,… Se redressent altiers : deux touff… Se collent sur le front en moqueus… Aigues-marines, dans le transparen…
Allons, amis ! voici l’aurore, Voici l’aurore à nos vitraux ! Sous le brouillard qui s’évapore On aperçoit les grands troupeaux ; Debout !—car la vache qui brame
Elle est passée la Léa, Avec une aigüe prestance Des plus vraiment majestueuses, Une splendide élégance Des plus ardemment glorieuses,
Vallée-aux-Loups, frais ermitage Qu’élut un jour Chateaubriand, Son grand cœur est resté l’otage De ton décor simple et riant. Sous les tulles des soirs d’octobr…
Sonnet. Elle a des yeux d’acier ; ses chev… Ont le lustre azuré des plumes d’h… Blanche à force de nuit amassée au… Elle erre sur les monts et dans le…
Ma chère grand-mère Dans ce monde, de multiples person… Certes précieuses dont l’existence… Par leurs valeurs humaines, elles… L’amour qui les anime paraît irrat…
D’un doute périlleux ton cœur est… Je le vois, et, si Dieu ne te prê… Je crains qu’à l’ennemi ta faibles… Des deux sentiers ouverts lequel c… Ton corps formé pour plaire est pa…
Sonnet. J’ai rêvé l’archipel parfumé, mont… Perdu dans une mer inconnue et pro… Où le naufrage nous a jetés tous l… Oubliés loin des lois qui régissen…
Je veux ensevelir au linceul de la… Ce souvenir, malaise immense qui m… * Quand j’aurai fait ces vers, quand… Mon mal vulgarisé ne me poursuivra…
J’ai cassé ma belle plume Sur les récifs abandonnés Et je renais Malgré marteaux et enclumes Telle une rose pas fanée.
Grâce éternelle Comparable à une étoile qui brille… Belle, que Dis-je, merveilleuse e… D’un amour toujours bienveillant e… Je mesure avec émoi son immense va…
Sur les rives de mon chagrin, Tu t’es échouée. Brisée, ton corps secoué et Tes pleurs répétés. Sur les rives de mon chagrin,
Quatre lustres et trois printemps Ont rempli ma triste carrière. J’ai vu mourir ma tendre mère ; J’ai vu mourir mes deux enfants ; Hélas ! J’ai vécu bien longtemps.