Tu sais l’amour et son ivresse Tu sais l’amour et ses combats ; Tu sais une voix qui t’adresse Ces mots d’ineffable tendresse Qui ne se disent que tout bas.
Sonnet. Cette nuit, tu prendras soin que d… Frissonne, humide encore, une gerb… Nul flambeau dans la chambre—où te… Se noieront comme un rêve en des v…
Les Grecs, pour honorer une de le… Inscrivaient Callipyge au socle d… Ils aimaient, par amour de la gran… La vérité des corps harmonieux et… Je ne crois pas aux sots faussemen…
Donne-moy tes presens en ces jours… Fait les plus courts de l’an, ou,… Dans le ruisseau d’oubly, dessus m… Endors mes pauvres yeux, mes goutt… Misericorde, ô Dieu ! ô Dieu, ne…
Sonnet. Le magique soleil sur les hauteurs… Fait luire et triompher tous ces g… Qui, chevauchant leur corde au sor… Y sèchent, tour à tour inertes et…
Le cortège léger glisse aux plaine… Une rose lueur teinte le flot chan… C’est la jeune Amphitrite, en sa… Qui passe sur la mer avec ses Nér… L’archipel a surgi vers les lointa…
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Le bourdonnant été, doré comme du… Parfumé de citrons, de résine et d… Balance au vent sucré son rêve sen… Et baigne son visage au clair de l… Les pesants papillons ont alangui…
—« Petite perle cristalline, Tremblante fille du matin, Au bout de la feuille de thym Que fais-tu là sur la colline ? « Avant la fleur, avant l’oiseau,
Oh ! De quelle splendeur brillaie… Quand un autre soleil échauffait l… Quand nos jeunes lauriers, vers le… Agitaient noblement leur tige refl… Ces grands jours, déjà loin, ne vo…
Il s’appelait Allah agbar Il était bien noir et arabe Et jouait l’élite des barbares Ensuite il fit le kamikaze Avec un énorme kebab
Sonnet XXXV. La nef qui longuement a voyagé, D… Dedans le sein du port à la fin on… Et le boeuf, qui longtemps a renve… Le bouvier à la fin lui ôte le col…
Parfois de crépuscule pleine Avec la lune sur le cœur, J’ai l’âme flottante et sereine Du jour qui meurt. Je vis sans rêve, sans pensée,
Sonnet. Vertigineux géant du désert qu’il… La tête dans l’azur et le pied dan… Le mont découpe, ardent, sous le d… Son farouche horizon de chaos en e…
Ode XXVIII. Si j’avois un riche tresor, Ou des vaisseaux engravez d’or, Tableaux ou medailles de cuivre, Ou ces joyaux qui font passer
Au zénith aveuglant brûle un globe… Le ciel entier frémit criblé de fl… Immobile et ridée à peine la mer d… La mer dort au soleil comme une be… Ça et là, dans le creux des rocher…
Comme le vent d’automne emporte, Pour les ranimer un instant, Fleur desséchée & feuille morte, En son tourbillon inconstant, Dans ces lettres, tristes trophées…
Ô mon fils, je tiendrai ta tête da… Je dirai : j’ai pétri ce petit mon… Sous ce front dont la courbe est u… J’ai logé l’univers rajeuni qui mi… Et qui lave d’azur les chagrins pl…
Fable X, Livre IV. « Ma sœur, vois-tu là-bas, là-bas, Vois-tu ce tourbillon s’élever sur… Comme il grossit ! vers nous comme… Que nous annonce-t-il ? un carross…
Une beauté de quinze ans enfantine… Un or frisé de maint crêpe anelet, Un front de rose, un teint damoise… Un ris qui l’âme aux Astres achem… Une vertu de telles beautés digne,
Assis au bord de Seine, j’vois s’… Attendant ma superbe, tout ça en p… Pour ce moment de rêve, j’attendra… Regarde moi sourire, n’attendant q… C’est l’espoir qui fait vivre, ape…
Dans le Jardin Royal ou l’on voit… Une Chimère antique entre toutes… Elle pousse en avant deux mamelles… Dont le marbre veiné semble gonflé… Son visage de femme est le plus be…
Lorsque le fils d’Alcmène, après… Fut reçu dans le ciel, tous les di… De venir au devant de ce fameux hé… Mars, Minerve, Vénus, tendrement… Junon même lui fit un accueil asse…
Il est un triste lac à l’eau tranq… Dont jamais le soleil ne vient bro… Et dont tous les oiseaux évitent l… Un chêne vigoureux a grandi sur se… Et, courbé par le Temps jusqu’aux…
Je n’aurais jamais voulu revoir to… Tes joues creuses et tes cheveux a… Je suis parti à travers champs Sous les bois humides Jour et nuit
Dans son jardin la sultane se baig… Elle a quitté son dernier vêtement… Et délivrés des morsures du peigne… Ses grands cheveux baisent son dos… Par son vitrail le sultan la regar…
Quelqu’un vient de partir Dans la chambre Il reste un soupir La vie déserte La rue
L’amitié nous entoure L’amitié nous régénère L’amitié nourrit notre âme et notr… L’amitié nous donne tout ce que l’… L’amitié plus forte que l’amour
(Le soir de la première représenta… Ma pièce est jeune, et je suis vie… Enfants, je n’en suis pas la cause… Vous nous jouerez bien autre chose… Et tout aussi bien, mais pas mieux…
À une dame châtelaine. (Pour la construction d’une serre.… Pauvre fleur, qu’un rayon du solei… Pauvre fleur, dont les jours n’ont… Il me faut, au printemps, le solei…