#ÉcrivainsFrançais
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
On a transformé le trottoir en vél… On ne voit pas ses mains et le gui… On a peur de le voir tomber et qu’…
Je vois enfin le jour à travers le… Les persiennes de la maison se sou… Et battent Mais le jour où je devais le renco… N’est pas encore venu
Les étoiles qui sortent du foyer sont plus rouges. La tête s’incline assez près du tuyau qui a l’air d’être son cou et ceux qui sont derrière regardent dans la glace. L’air tiède à la v...
Au coin du bois Quelqu’un se cache On pourrait approcher sans bruit Vers le vide ou vers l’ennemi En tombant la nuit s’est fendue
Dans cet étrange faubourg en pleine ville où le plus obscur travail s’exécute, personne n’est jamais venu voir. Seul dans la nuit, dans la boue où tremblent des lumières rouges ou verte...
Au bord du toit Un nuage danse Trois gouttes d’eau pendent à la gouttière Trois étoiles
Alors sur le soleil midi devait so… Sur cet immense gong Un poing lourd s’abattait Aux applaudissements de tous Personne n’est resté couché
Au moment où les chevaux passaient, la suspension trembla. Le plafond menaçait de se pencher à droite, contre nos têtes ; mais les fenêtres restaient d’aplomb avec le ciel, et l’on voya...
Une ombre coule sur ta main La lampe a changé ta figure La pendule bat Le temps dure Et comme il ne se passe rien
Là-haut Le creux marin Au bord des hémisphères La houle passe en bloc par-dessus… Les racines du monde pendent
Comment vivre ailleurs que près de… Le vieillard a jeté une à une ses… A quoi bon continuer à mordre ces… Le vieillard Les dents
Les rafles d’or sur le ravin des v… Quand les feuillets de la mer se r… Au bruit du vent Et des portées des voiles On commence à s’habituer à tous ce…
Enfin le vent plus libre passe La pointe fléchit sur sa trace Une vague s’efface plus loin Sur le champ le plan monte Le ciel s’incline lentement
La fumée vient-elle de leurs chemi… Dans la rue où nos bras jettent un… Quand les toits se touchent on n’o…