#ÉcrivainsFrançais
Je lis à travers ton front jaune e… Les rires les éclats les lumières… Dansent Tu es saoule Autrefois les boulevards étaient g…
Un pas de plus vers le lac, sur les quais, devant la porte éclairée de la taverne. Le matelot chante contre le mur, la femme chante. Les bateaux se balancent, les navires tirent un peu ...
Une ligne au diapason Mon regard Le battement de mes artères Je file incognito Et l’on voit venir la lumière
Nous sommes deux Sur la même ligne où tout se suit Dans les méandres de la nuit Une parole est au milieu Deux bouches qui ne se voient pas
Il fait plus noir Les yeux se ferment La prairie se dressait plus claire Dans l’air il y avait un mouchoir Et tu faisais des signes
Net et fixe Son œil s’écarte du plan blanc L’instrument est plus près des car… Les formes du paysage clair Et les traits violents du visage
On peut regarder de travers Tous ceux qui passent sous l’avers… Les voix qui criaient à l’envers Et les animaux en détresse A peine relevés du ciel
En face du mur sur la glace le pér… Dans les parures du papier aux vit… L’air est gai l’air est frais Le ciel est plus bas et plus sombr… On compte d’ici là le temps qu’il…
Jour à jour ta vie est un immeuble… Des fenêtres fermées des fenêtres… Et la porte noire au milieu Ce qui brille dans ta figure Les yeux
A présent la ruelle est refermée par la lettre majeure de l’enseigne que le vent rabattait sans cesse contre l’arbre du coin de la forêt à vendre. Le vent en tourbillons aigris garnit l...
Tu regardes en passant l’animal en… Il part de son élan L’exil entre les haies Son œil sonde le ciel d’un regard… La tête contre la barrière
C’était peut-être la première fois qu’il voyait quelque chose de clair. Il se sentait accroché au dernier wagon du train de luxe pour quelque destination magnifique et regardait distrai...
Le chemineau aurait frappé de son… durci A cet endroit Devant la porte un chien furieux g… La famille protégée dort
Une tête penchée sous le poids des… Et les mains transpercées par des… Le front sanglant posé sur les nua… Les deux bras étendus pour barrer… Le monde est passé sous tes pieds
Hangar monté la porte ouverte Le ciel En haut deux mains se sont offerte… Les yeux levés