Prose
#ÉcrivainsFrançais
Dans une singulière détresse d’or j’attends, passé minuit, que vienne l’heure propice à toutes les défenses contre les éléments. Je vais passer devant l’ennemi, redoutable plus que la p...
La clochette tinte la nuit sur le… Le troupeau, derrière, est silenci… En face, de larges plaques divisen… Et c’est la nuit, la vie ardente e… Tout ce monde inquiet descend la p…
L’ombre et la rue dans le coin où… Les têtes attroupées écoutent ou r… L’œil passe du trottoir à l’instru… Les lames du bec de gaz tranchent… Le peuple est là et tous à la même…
S’arrêter devant le soleil Après la chute ou le réveil Quitter la cuirasse du temps Se reposer sur un nuage blanc Et boire au cristal transparent
La foule descendait plus vite et en criant. Ils venaient tous du fond, de derrière les arbres, de derrière le bois du cadre, de la maison. Chaque visage blanc avait un regard animé—et s...
Maintenant c’est le temps présent Plus gris que de coutume Qui mastique la vitre Et étouffe le bruit Les quatre murs paisibles
Il y a parfois dans la ville ceux… Le cadre illuminé passant sur les… Dans ce paysage parisien roux à l’… Il y a tous ceux qui passent feuil… Sur le fond du jardin bien rangé s…
Un baiser de tes lèvres mortes et le départ de cette auberge où j’aurais tout seul passé ma vie. Pas de cour, tout de suite la route et les vieilles diligences persistant dans la poussi...
Près du chemin ouvert Et du bois sous la neige La pointe qui soulève la nuit La lampe veille Sur le visage blanc les paupières…
Les bancs sont prisonniers Des chaînes d’or du mur Prisonniers des jardins où le sole… Près de la forêt vierge De la prairie étale
Les bateaux s’étageaient dans le t… Où les hommes jouaient aux cartes Les mots les plus légers montent j… Devant eux la fumée s’écarte Les autres battent des ailes dans…
Des lignes trop usées par les rigu… La flaque d’eau sous la gouttière Le reflet timide qui danse Et la nuit qui descend Aucun essor
Qui m’a révélé l’endroit précis. Le ciel où les deux murs se joignent. L’angle où l’on est à l’abri ? Par-dessus, le vent emporte la terre qui se déplace. Quelques nids sont tombés et l...
Tête penchée Cils recourbés Bouche muette Les lampes se sont allumées Il n’y a plus qu’un nom
Le chemineau aurait frappé de son… durci A cet endroit Devant la porte un chien furieux g… La famille protégée dort