"Chair (1896)"
#ÉcrivainsFrançais
Ils me disent que tu es blonde Et que toute blonde est perfide, Même ils ajoutent “ comme l’onde ”… Je me ris de leur discours vide ! Tes yeux sont les plus beaux du mo…
Nous sommes bien faits l’un pour l… Pourtant quand tu me rencontreras Menant mes derniers embarras D’homme grave et de bon apôtre, Ruine encore de chrétien,
Je ne veux plus aimer que ma mère… Tous les autres amours sont de com… Nécessaires qu’ils sont, ma mère s… Pourra les allumer aux coeurs qui… C’est pour Elle qu’il faut chérir…
Me voici devant Vous, contrit com… Je sais tout le malheur d’avoir pe… Et je n’ai plus d’espoir, et je n’… Qu’en une en qui je crois chasteme… A mes yeux mieux que tout, et l’es…
Le poète est un fou perdu dans l’a… Qui rêve sans repos de combats anc… De fabuleux exploits sans nombre q… Puis chante pour soi-même et la ra… Plus tard, indifférent aux soucis…
À Stéphane Mallarmé Il parle italien avec un accent ru… Il dit : « Chère, il serait préci… Riche, et seul, tout demain et tou… Mais riche à paver d’or monnayé le…
Au sortir de Paris on entre à Not… Le fracas blanc vous jette aux acc… L’affreux soleil criard à l’ombre… Qui se pâme, aux regards des vitra… Et l’adoration à l’infini s’étire
L’immensité de l’humanité, Le Temps passé vivace et bon père… Une entreprise à jamais prospère : Quelle puissante et calme cité ! Il semble ici qu’on vit dans l’his…
Eh quoi ! Dans cette ville d’eaux… Trêve, repos, paix, intermède, Encor toi de face et de dos, Beau petit ami Ganymède, L’aigle t’emporte, on dirait comme
C’est la fête du blé, c’est la fêt… Aux chers lieux d’autrefois revus… Tout bruit, la nature et l’homme,… De lumière si blanc que les ombres… L’or des pailles s’effondre au vol…
Voix de Gabriel Chez l’humble Marie, Cloches de Noël, Dans la nuit fleurie, Siècles, célébrez
Deux reîtres saouls, courant les c… La fange d’un fossé profond, une c… Humaine dont la faim torve d’un lo… Venait de disloquer l’ossature à d… La tète, intacte, avait un rictus…
Je ne suis pas jaloux de ton passé… Et même je t’en aime et t’en admir… Il montre ton grand cœur et la glo… D’un amour tendre et fort autant q… Car tu n’eus peur ni de la mort ni…
La dure épreuve va finir : Mon coeur, souris à l’avenir. Ils sont passés les jours d’alarme… Où j’étais triste jusqu’aux larmes… Ne suppute plus les instants,
J’ai presque peur, en vérité, Tant je sens ma vie enlacée À la radieuse pensée Qui m’a pris l’âme l’autre été, Tant votre image, à jamais chère,