"La bonne chanson (1872)"
#ÉcrivainsFrançais
—L’abbé divague.—Et toi, marquis, Tu mets de travers ta perruque. —Ce vieux vin de Chypre est exqui… Moins, Camargo, que votre nuque. —Ma flamme ...—Do, mi, sol, la, s…
C’est le chien de Jean de Nivelle Qui mord sous l’œil même du guet Le chat de la mère Michel ; François-les-bas-bleus s’en égaie. La Lune à l’écrivain public
Le piano que baise une main frêle Luit dans le soir rose et gris vag… Tandis qu’un très léger bruit d’ai… Un air bien vieux, bien faible et… Rôde discret, épeuré quasiment,
Toute grâce et toutes nuances Dans l’éclat doux de ses seize ans… Elle a la candeur des enfances Et les manèges innocents. Ses yeux, qui sont les yeux d’un a…
Vous n’avez rien compris à ma simp… Rien, ô ma pauvre enfant ! Et c’est avec un front éventé, dép… Que vous fuyez devant. Vos yeux qui ne devaient refléter…
Tu m’as, ces pâles jours d’automne… À cause de tes yeux où fleurit l’a… Et tu me rongerais, en princesse… Du bout fin de la quenotte de ton… Fille auguste qui fis flamboyer ma…
Deux femmes des mieux m’ont apparu… Mon rêve était au bal, je vous dem… L’une d’entre elles maigre assez,… Un noir et ce regard mécréant qui… L’autre, brune au regard sournois…
Ni pardon ni répit, dit le monde, Plus de place au sénat du loisir ! On rend grâce et justice au désir Qui te prend d’une paix si profond… Et l’on eût fait trêve avec plaisi…
Seigneur, vous m’avez laissé vivre Pour m’éprouver jusqu’à la fin. Vous châtiez cette chair ivre, Par la douleur et par la faim ! Et Vous permîtes que le diable
Jusques aux pervers nonchaloirs De ces yeux noirs, Jusques, depuis ces flemmes blanch… De larges hanches Et d’un ventre et de beaux seins
Ayant poussé la porte étroite qui… Je me suis promené dans le petit j… Qu’éclairait doucement le soleil d… Pailletant chaque fleur d’une humi… Rien n’a changé. J’ai tout revu :…
Va ton chemin sans plus t’inquiéte… La route est droite et tu n’as qu’… Portant d’ailleurs le seul trésor… Et l’arme unique au cas d’une bata… La pauvreté d’esprit et Dieu pour…
Rustique beauté Qu’on a dans les coins, Tu sens bon les foins, La chair et l’été. Tes trente-deux dents
Tu bois, c’est hideux ! presque au… Je bois, c’est honteux, presque pl… Ce n’est plus ce qu’on appelle une… Ah ! la femme, fol, fol est qui s’… Les hommes, bravo ! c’est fier et…
Vaincus, mais non domptés, exilés,… Et malgré les édits de l’Homme et… N’ont point abdiqué, crispant leur… Sur des tronçons de sceptre, et rô… Les nuages coureurs aux caprices m…