"Romances sans paroles (1874)"
#ÉcrivainsFrançais
Puisque l’aube grandit, puisque vo… Puisque, après m’avoir fui longtem… Revoler devers moi qui l’appelle e… Puisque tout ce bonheur veut bien… C’en est fait à présent des funest…
Je suis né romantique et j’eusse é… En un frac très étroit aux boutons… Avec ma barbe en pointe et mes che… Hablant español, très loyal et trè… L’œil idoine à l’œillade et chargé…
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
« Angels », seul coin luisant dans… Où flambe un peu de gaz et jase qu… C’est drôle que, semblable à tel t… Ton souvenir m’obsède et puissamme… Autour de mon esprit un regret rou…
Au bout d’un bas-côté de l’église… Contre le mur que vient baiser le… D’un long vitrail d’azur et d’or f… Le Crucifix se dresse, ineffablem… Sur sa croix peinte en vert aux ar…
Voix de Gabriel Chez l’humble Marie, Cloches de Noël, Dans la nuit fleurie, Siècles, célébrez
Et je t’attends en ce café, Comme je le fis en tant d’autres. Comme je le ferais, en outre. Pour tout le bien que tu me fais. Tu sais, parbleu ! que cela m’est
Nous sommes en des temps infâmes Où le mariage des âmes Doit sceller l’union des cœurs ; À cette heure d’affreux orages, Ce n’est pas trop de deux courages
Murs blancs, toit rouge, c’est l’… Du grand chemin poudreux où le pie… L’Auberge gaie avec le Bonheur po… Vin bleu, pain tendre, et pas beso… Ici l’on fume, ici l’on chante, ic…
Le couchant dardait ses rayons sup… Et le vent berçait les nénuphars b… Les grands nénuphars entre les ros… Tristement luisaient sur les calme… Moi j’errais tout seul, promenant…
Trois petits pâtés, ma chemise brû… Monsieur le Curé n’aime pas les o… Ma cousine est blonde, elle a nom… Que n’émigrons-nous vers les Pala… Ma cousine est blonde, elle a nom…
La Gueule parle : « L’or, et puis… Toujours l’or, et la viande, et le… Et l’or pour les vins fins et la v… Un trou sans fond pour l’or toujou… La Panse dit : « À moi la chute d…
Tournez, tournez, bons chevaux de… Tournez cent tours, tournez mille… Tournez souvent et tournez toujour… Tournez, tournez au son des hautbo… Le gros soldat, la plus grosse bon…
Bon pauvre, ton vêtement est léger Comme une brume, Oui, mais aussi ton cœur, il est l… Comme une plume, Ton libre cœur qui n’a qu’à plaire…
En robe grise et verte avec des ru… Un jour de juin que j’étais soucie… Elle apparut souriante à mes yeux Qui l’admiraient sans redouter d’e… Elle alla, vint, revint, s’assit,…