Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
Tout enfant, j’allais rêvant Ko-H… Somptuosité persane et papale Héliogabale et Sardanapale ! Mon désir créait sous des toits en… Parmi les parfums, au son des musi…
La Gueule parle : « L’or, et puis… Toujours l’or, et la viande, et le… Et l’or pour les vins fins et la v… Un trou sans fond pour l’or toujou… La Panse dit : « À moi la chute d…
Scaramouche et Pulcinella, Qu’un mauvais dessein rassembla, Gesticulent, noirs sur la lune. Cependant l’excellent docteur Bolonais cueille avec lenteur
Ce n’est plus le rêveur lunaire du… Qui riait aux aïeux dans les dessu… Sa gaîté, comme sa chandelle, héla… Et son spectre aujourd’hui nous ha… Et voici que parmi l’effroi d’un l…
La petite marquise Osine est tout… Elle pourrait aller grossir la rib… Des folles de Watteau sous leur c… Et de soleil, mais comme on dit, e… Parisienne en tout, spirituelle et…
La neige à travers la brume Tombe et tapisse sans bruit Le chemin creux qui conduit A l’église où l’on allume Pour la messe de minuit.
Baiser ! rose trémière au jardin d… Vif accompagnement sur le clavier… Des doux refrains qu’Amour chante… Avec sa voix d’archange aux langue… Sonore et gracieux Baiser, divin…
Entends les pompes qui font Le cri des chats. Des sifflets viennent et vont Comme en pourchas. Ah, dans ces tristes décors
Briques et tuiles, Ô les charmants Petits asiles Pour les amants ! Houblons et vignes,
Hier, on parlait de choses et d’au… Et mes yeux allaient recherchant l… Et votre regard recherchait le mie… Tandis que courait toujours l’entr… Sous le banal des phrases pesées
Je fais souvent ce rêve étrange et… D’une femme inconnue, et que j’aim… Et qui n’est, chaque fois, ni tout… Ni tout à fait une autre, et m’aim… Car elle me comprend, et mon coeur…
Malheureux ! Tous les dons, la gl… Ton enfance chrétienne, une mère q… La force et la santé comme le pain… Cet avenir enfin, décrit dans le t… De ce passé plus clair que le jeu…
Je suis l’Empire à la fin de la d… Qui regarde passer les grands Bar… En composant des acrostiches indol… D’un style d’or où la langueur du… L’âme seulette a mal au coeur d’un…
Petit Jésus qu’il nous faut être, Si nous voulons voir Dieu le Père… Accordez-nous d’alors renaître En purs bébés, nus, sans repaire Qu’une étable, et sans compagnie
L’horrible nuit d’insomnie ! —Sans la présence bénie De ton cher corps près de moi, Sans ta bouche tant baisée Encore que trop rusée