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#ÉcrivainsFrançais
Je ne t’aime pas en toilette Et je déteste la voilette Qui t’obscurcit tes yeux, mes cieu… Et j’abomine la « tournure » Parodie et caricature,
L’imagination, reine, Tient ses ailes étendues, Mais la robe qu’elle traîne A des lourdeurs éperdues. Cependant que la Pensée,
L’indulgence qui n’est pas de l’in… Et qui n’est pas non plus de la fa… De la paresse, pour un devoir défi… Monitoire au plaisir, bénin à la s… Non plus le scepticisme et ni préj…
I Tu me dois ta photographie À la condition que je Serai bien sage—et tu t’y fies ! Apprends, ma chère, que je veux
Né l’enfant des grandes villes Et des révoltes serviles, J’ai là tout cherché, trouvé, De tout appétit rêvé. Mais, puisque rien n’en demeure,
Je fus mystique et je ne le suis p… (La femme m’aura repris tout entie… Non sans garder des respects absol… Pour l’idéal qu’il fallut renier. Mais la femme m’a repris tout enti…
Fauve avec des tons d’écarlate, Une aurore de fin d’été Tempétueusement éclate A l’horizon ensanglanté. La nuit rêveuse, bleue et bonne
Ô toi triomphante sur deux « Rivales » (pour dire en haut sty… Tu fus ironique,—elles... feues— Et n’employas d’effort subtil Que juste assez pour que tu fus—
Mystiques barcarolles, Romances sans paroles, Chère, puisque tes yeux, Couleur des cieux, Puisque ta voix, étrange
La misère et le mauvais œil, Soit dit sans le calomnier, Ont fait à ce monstre d’orgueil Une âme de vieux prisonnier. Oui, jettatore, oui, le dernier
Jésus au ciel est monté Pour vous envoyer sa grâce Espérance et charité, Foi qui jamais ne se lasse, Patience et tous les dons
Il est grave : il est maire et pèr… Son faux col engloutit son oreille… Dans un rêve sans fin flottent ins… Et le printemps en fleur sur ses p… Que lui fait l’astre d’or, que lui…
Impérial, royal, sacerdotal, comme… République Française en ce Quatre… Brûlant empereur, roi, prêtre dans… Avec la danse, autour, de la grand… L’étudiant et sa guitare et sa for…
Sécheresse maligne et coupable lan… Il n’est remède encore à vos trist… Que telles dévotions surérogatoire… Comme des mois de Marie et du Sac… Éclat et parfum purs de fleurs rou…
Bon chevalier masqué qui chevauche… Le Malheur a percé mon vieux coeu… Le sang de mon vieux coeur n’a fai… Puis s’est évaporé sur les fleurs,… L’ombre éteignit mes yeux, un cri…