Parallèlement (1889)
#ÉcrivainsFrançais
La luxure, ce moins terrible des p… Ces deux pires de tous, l’Avarice… La Gourmandise, abus risible de l… Toi, Paresse, leur mère à tous, à… Et la Colère, presque belle en sa…
Toutes deux regardaient s’enfuir l… L’une pâle aux cheveux de jais, et… Et rose, et leurs peignoirs légers… Vaguement serpentaient, nuages, au… Et toutes deux, avec des langueurs…
Un vieux faune de terre cuite Rit au centre des boulingrins, Présageant sans doute une suite Mauvaise à ces instants sereins Qui m’ont conduit et t’ont conduit…
Courtisane au sein dur, à l’oeil o… S’ouvrant avec lenteur comme celui… Ton grand torse reluit ainsi qu’un… Fleur grasse et riche, autour de t… Arôme, et la beauté sereine de ton…
L’amitié, mais entre homme et femm… Elle n’empêche rien, aussi bien de… Nécessaires, et sous les mieux séa… Abrite les secrets aimables qu’on… Nous mettrions chacun du nôtre, el…
Chemise de femme, armure ad hoc Pour les chers combats et le gai c… Avec, si frais et que blancs et gr… Sortant tout nus, joyeux, les deux… Vêtement suprême,
Roi, le seul vrai roi de ce siècle… Qui voulûtes mourir vengeant votre… Des choses de la politique, et du… De cette Science intruse dans la… De cette Science assassin de l’Or…
Tu crois au marc de café, Aux présages, aux grands jeux : Moi je ne crois qu’en tes grands y… Tu crois aux contes de fées, Aux jours néfastes, aux songes,
Mon ami, ma plus belle amitié, ma… —Les morts sont morts, douce leur… Laisse-moi te le dire en toute vér… Tu vins au temps marqué, tu parus… Tu parus sur ma vie et tu vins dan…
Une Sainte en son auréole, Une Châtelaine en sa tour, Tout ce que contient la parole Humaine de grâce et d’amour ; La note d’or que fait entendre
Hélas ! je n’étais pas fait pour c… Et pour ce mépris plus forts que m… Mais pourquoi m’avoir fait cet agn… Et pourquoi m’avoir fait ce coeur… J’étais né pour plaire à toute âme…
Chabrier, nous faisions, un ami ch… Des paroles pour vous qui leur don… Et tous trois frémissions quand, p… Passait l’Ecce deus et le Je ne s… Chez ma mère charmante et divineme…
Écoutez la chanson bien douce Qui ne pleure que pour vous plaire… Elle est discrète, elle est légère… Un frisson d’eau sur de la mousse… La voix vous fut connue (et chère…
Vous voilà, vous voilà, pauvres bo… L’espoir qu’il faut, regret des gr… Douceur de cœur avec sévérité d’es… Et celle vigilance, et le calme pr… Et toutes !—Mais encor lentes, bi…
L’échelonnement des haies Moutonne à l’infini, mer Claire dans le brouillard clair Qui sent bon les jeunes baies. Des arbres et des moulins