Amour (1888)
#ÉcrivainsFrançais
Là ! Je me tue à vos genoux ! Car ma détresse est infinie, Et la tigresse épouvantable d’Hyr… Est une agnelle au prix de vous. Oui, céans, cruelle Clymène,
Vos narines qui vont en l’air, Non loin de vos beaux yeux quelcon… Sont mignonnes comme ces conques Du bord de mer de bains de mer ; Un sourire moins franc qu’aimable
Le foyer, la lueur étroite de la l… La rêverie avec le doigt contre la… Et les yeux se perdant parmi les y… L’heure du thé fumant et des livre… La douceur de sentir la fin de la…
Douze longs ans ont lui depuis les… Où le même devoir nous tenait côte… Hélas ! les passions dont mon cœur… Furieux ont troublé ma paix de ces… Et j’ai couru bien loin de nos cal…
Vrai, nous avons trop d’esprit. Chérie ! Je crois que mal nous en prit, Chérie ! D’ainsi lutter corps à corps
À Stéphane Mallarmé Il parle italien avec un accent ru… Il dit : « Chère, il serait préci… Riche, et seul, tout demain et tou… Mais riche à paver d’or monnayé le…
Saint est l’homme au sortir du bap… Petit enfant humble et ne tétant p… Et si pur alors qu’il est la puret… Saint est l’homme après l’Euchari… La chair de Jésus a sa chair inve…
C’est la fête du blé, c’est la fêt… Aux chers lieux d’autrefois revus… Tout bruit, la nature et l’homme,… De lumière si blanc que les ombres… L’or des pailles s’effondre au vol…
Voix de l’Orgueil : un cri puissa… Des étoiles de sang sur des cuiras… On trébuche à travers des chaleurs… Mais en somme la voix s’en va, com… Voix de la Haine : cloche en mer,…
Les chères mains qui furent mienne… Toutes petites, toutes belles, Après ces méprises mortelles Et toutes ces choses païennes, Après les rades et les grèves,
C’est plutôt le sabbat du second… Un rhythmique sabbat, rhythmique,… Rhythmique.—Imaginez un jardin de… Correct, ridicule et charmant. Des ronds-points ; au milieu, des…
Amour qui ruisselais de flammes et… Qu’est devenu ce temps, et comme e… La constance sacrée au chrême des… Elle ressemble une putain dont les… Empliraient cent bidets de futurs…
Un serpent, s’élançant du tronc cr… Darde son noir venin sur l’aigle a… Le noble oiseau s’abaisse et sa se… A bientôt châtié le reptile odieux… La bête, qui tordait ses anneaux a…
Ô Don Quichotte, vieux paladin, g… En vain la foule absurde et vile r… Ta mort fut un martyre et ta vie u… Et les moulins à vent avaient tort… Va toujours, va toujours, protégé…
Les hauts talons luttaient avec le… En sorte que, selon le terrain et… Parfois luisaient des bas de jambe… Interceptés !– et nous aimions ce… Parfois aussi le dard d’un insecte…