Romances sans musique
#ÉcrivainsFrançais
En l’an 801 de Rome César Claudius convint De quelques mesures, afin D’aider au bonheur des hommes. Un aqueduc fut parfait,
Satan, notre meg, a dit Aux rupins embrassés des rombières… “ Icicaille est le vrai paradis ” Dont les sources nous désaltèren… “ La vallace couleur du ciel
Le temps irrévocable a fui. L’heu… Mais toi, quand tu reviens, et tra… Tes bras sont plus frais que le jo… Tes yeux plus clairs. A travers le passé ma mémoire t’em…
Longtemps si j’ai demeuré seul, Ah ! qu’une nuit je te revoie. Perce l’oubli, fille de joie, Sors du linceul. D’une figure trop aimée,
Contrerime III. Iris, à son brillant mouchoir, De sept feux illumine La molle averse qui chemine, Harmonieuse à choir.
Aimez-vous le passé Et rêver d’histoires Évocatoires Aux contours effacés ? Les vieilles chambres
Contrerime LXVIII. M. C. M. III. Dormez, ami ; demain votre âme Prendra son vol plus haut. Dormez, mais comme le gerfaut,
Contrerime XXIII. Carthame chatoyant, cinabre, Colcothar, orpiment, Vous dont j’ai goûté l’ornement Sur la rive cantabre :
Contrerime XVI. Trottoir de l’Élysé'-Palace Dans la nuit en velours Où nos coeurs nous semblaient si l… Et notre chair si lasse ;
Contrerime XXXII. À Pau, les foires Saint-Martin, C’est à la Haute Plante. Des poulains, crinière volante, Virent dans le crottin.
Contrerime XXIX. “– Embrassez-moi, petite fille, Là, bien. Quoi de nouveau ? As-tu retrouvé le cerveau Qui manque à ta famille ?
Contrerime XLIV. Vous qui retournez du Cathai Par les Messageries, Quand vous berçaient à leurs féeri… L’opium ou le thé,
Contrerime LIV. Tout ainsi que ces pommes De pourpre et d’or Qui mûrissent aux bords Où fut Sodome ;
Vous me reprochez, entre tant, D’être chipé pour la boniche. Mais vous donner mon cœur, autant Porter des cerises à Guiche. Ne prenez pas cet air pointu
Contrerime XXVIII. Le sonneur se suspend, s’élance, Perd pied contre le mur, Et monte : on dirait un fruit mûr Que la branche balance.