"L'Amour la poésie"
#ÉcrivainsFrançais
Le front aux vitres comme font les… Ciel dont j’ai dépassé la nuit Plaines toutes petites dans mes ma… Dans leur double horizon inerte in… Le front aux vitres comme font les…
Faites mon portait. Il se modifiera pour remplir tous… Faites mon portrait sans bruit, se… À moins que—s’il—sauf—excepté— Je ne vous entends pas.
Les bêtes qui descendent des faubo… Les oiseaux qui secouent leurs plu… Les terribles ciels jaunes, les nu… Ont, en toute saison, fêté cette s… Elle est belle, statue vivante de…
Elle se penche sur moi Le cœur ignorant Pour voir si je l’aime Elle a confiance elle oublie Sous les nuages de ses paupières
Les lumières en l’air, L’air sur un tour moitié passé, mo… Faites entrer les enfants, Tous les saluts, tous les baisers,… Autour de la bouche
Ombre de neige, Cœur blanc, sang pauvre, cœur d’en… Le jour. Il y a toujours le jour du soleil… Le ciel, bras ouverts, bon accueil
Je te l’ai dit pour les nuages Je te l’ai dit pour l’arbre de la… Pour chaque vague pour les oiseaux… Pour les cailloux du bruit Pour les mains familières
Vivant dans un village calme D’où la route part longue et dure Pour un lieu de sang et de larmes Nous sommes purs. Les nuits sont chaudes et tranquil…
Tourne sans reflets aux courbes sans sourires des ombres à moustaches, enregistre les murmures de la vitesse, la terreur minuscule, cherche sous des cendres froides les plus petits oise...
Cheval seul, cheval perdu, Malade de la pluie, vibrant d’inse… Cheval seul, vieux cheval. Aux fêtes du galop, Son élan serait vers la terre,
Il fallait bien qu’un visage Réponde à tous les noms du monde.
La nuit plus longue et la route pl… Lampes je suis plus près de vous q… Un papillon l’oiseau d’habitude Roue brisée de ma fatigue De bonne humeur place
Larmes des yeux, les malheurs des… Malheurs sans intérêt et larmes sa… Il ne demande rien, il n’est pas i… Il est triste en prison et triste… Il fait un triste temps, il fait u…
Suis-je autre chose que ta force ? Ta force dans tes bras, Ta tête dans tes bras, Ta force dans le ciel décomposé, Ta tête lamentable,
Le jour revient le jour est mainte… La terre s’ouvre et glisse et meur… Mais déjà les vivants ont accepté… Dans l’épaisseur de l’homme une ét… Et la femme soulève son enfant de…