Pauvres fleurs (1839)
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Riant portrait, tourment de mon dé… Muet amour, si loin de ton modèle… Ombre imparfaite du plaisir, Tu seras pourtant plus fidèle. De ta gaîté je me plains aujourd’h…
Il avait dit un jour : « Que ne p… ( Elle, alors, c’était moi ! ) que… Ce bonheur entrevu qu’elle veut me… Son cœur paraît si tendre ; oh ! s… Puis, fixant ses regards sur mon f…
Le printemps est si beau ! Sa cha… Descend au fond des cœurs réveillé… Une voix qui dormait, une ombre ac… Redemande l’amour à nos sens atten… La raison vainement à ce danger s’…
N’entend-elle jamais une voix me d… Un conseil attendri rappeler son d… Une larme furtive, un feu sous cet… Un reproche d’en haut lui crier :… Moi, je n’y peux courir : sa clame…
Ô délire d’une heure auprès de lui… Reste dans ma pensée ! Par toi tout le bonheur que m’offr… Est dans mon souvenir. Je ne m’expose plus à le voir, à l…
Amour, divin rôdeur, glissant entr… Sans te voir de mes yeux, je recon… Inquiets des lueurs qui brûlent da… Tous les regards errants sont plei… C’est lui ! Sauve qui peut ! Voic…
Cher petit oreiller, doux et chaud… Plein de plume choisie, et blanc !… Quand on a peur du vent, des loups… Cher petit oreiller, que je dors b… Beaucoup, beaucoup d’enfants pauvr…
« Oui, je le sais, voilà des fleur… Des vallons, des ruisseaux, des pr… Mais une onde plus pure et de plus… Enchantent ma pensée, et me coûten… Oui, je le vois, ces frais zéphyrs
Tristesse amère Ne peut crier : Pourtant, ma mère, Je veux prier. Là-haut peut-être
Ah ! c… Enfin ! et cette voix qui parle es… Pourquoi le sort mit-il mes jours… J’ai tant besoin de vous pour oubl… Victor Hugo .
Qu’est-ce donc qui me trouble, et… Je suis triste à la ville, et m’en… Les plaisirs de mon âge Ne peuvent me sauver de la longueu… Autrefois l’amitié, les charmes de…
Non ! je ne verrai plus de si bell… Que celle où sur tes pas je descen… Où l’eau, parmi les fleurs lenteme… Trouve une eau qui la cherche et s… J’étais bien ! tout parlait à mon…
Comme une vaine erreur, Comme un riant mensonge, S’évanouit le songe Qui faisait mon bonheur. Ô douce chimère !
Ce fut un jour pareil à ce beau jo… Que, pour tout perdre, incendiait… C’était un jour de charité divine Où dans l’air bleu l’éternité chem… Où dérobée à son poids étouffant
Qui m’appelle à cette heure, et pa… C’est une douce voix, c’est la voi… Ah ! je te reconnais ; c’est toi,… Ton souvenir est un bienfait. Inespéré retour ! aimable fantaisi…