Fleurs du midi (1836)
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Pourquoi vous asservir au ridicule… De ces mots sans pensée idiome moq… Qui, comme une beauté qui farde so… Eblouit un instant, et n’émeut pas… Laissez tout ce clinquant à de pet…
Oui, les illusions dont toujours j… En vain leurrent mon cœur d’un esp… Impassible et cruel le monde les d… Ainsi que des brins d’herbe emport… Et moi, me rattachant à ma fortune…
Que j’aime à voir tomber, par un c… La neige en blancs flocons sur nos… Avant qu’il soit souillé par les t… Le ciel se réfléchit dans ce miroi… Et le soleil, brillant d’un feu pl…
Il est de ces longs jours d’indici… Où l’on voudrait dormir du lourd s… De ces heures d’angoisse où l’exis… Sur l’âme et sur le corps : Alors on cherche en vain une douce…
C’est un de ces frétons de la litt… Qui, d’auteurs en auteurs, butinen… Formant péniblement, de ce qu’ils… Un volume indigeste, et de vers, e… Où, sur le frontispice un artiste…
Je crois revoir encore la couche d… Où mon père mourut vieillard aux c… Au front large et ridé, symbole de… Aux yeux étincelants. Comme un bûcher fumant, dont on ét…
Le malheur m’a jeté son souffle de… De mes doux sentiments la source s… Et mon âme incomprise avant l’heur… En perdant tout espoir perd tout p… Mes yeux n’ont plus de pleurs, ma…
Ne rêves-tu jamais à ces heures d’… Qui précèdent l’hymen de deux jeun… Quand l’amour, de leur cœur, comme… Déborde en sentiments mystérieux e… Dis, n’est-ce rien pour toi qu’une…
« Insensée, à ces cœurs fardés d’h… Qui profanent l’amour, que l’amour… Tu demandais en vain Cette source du ciel où l’on se dé… Ils avaient mélangé les fanges de…
Vois-tu la jeune vierge à l’âme vé… Qui se meurt chaque jour du mal qu… La vois-tu, mendiant, comme un tré… Un cœur qui la comprenne, et le ch… Oh ! qui saura jamais sa souffranc…
Froide raison, pompeuse idole, Divinité, chère à l’orgueil, Tu n’as pas un mot qui console Les souffrances d’un cœur en deuil… Jamais, dans ton œil inflexible,
Souvent je m’élançais dans ces cha… Où l’homme croit trouver le réel q… Dans des songes heureux qui, par l… Brillent sur nos beaux jours, puis… J’avais édifié le monument fragile
Quand je vais triste et seule, et… Je suis quelque nuage errant sur l… Et, comme ces draps noirs qu’on me… Couvrant des boulevards les arbres… Lorsqu’au bourdonnement de ce chao…
Ô mes auteurs chéris, vous qui, lo… Me consolez toujours, m’entourez à… Vos écrits ont calmé mes pensers d… Et je vous aime tous, en amis, en… Dans mes rêves brillants, fils de…
Si vous l’aviez connue à sa quinzi… Elle était belle alors, belle à vo… En voyant les attraits dont elle é… Vous auriez devant elle incliné le… Pour caresser sa main frêle, blanc…