Premières poésies (1871)
#ÉcrivainsFrançais
Endymion s’endort sur le mont soli… Lui que Phœbé la nuit visite avec… Qu’elle adore en secret, un enfant… Il est timide et fier, il est disc… Un charme grave au choix d’une ama…
Nous voilà donc encore une fois en… Lui le tyran divin, moi le vieux r… Or je suis la Justice, il n’est q… À qui va, de nous deux, rester l’H… Ah ! tu comptais sans moi, Divini…
Eh bien ! reprends-le donc ce peu… Qui pour quelques instants s’anima… Dans ton dédain superbe, implacabl… Brise à jamais le moule humain. De ces tristes débris quand tu ver…
Quel était ton désir et ta crainte… Quoi ! le vœu de ton cœur, ta Mus… Rougit-elle de l’exprimer ? Alcée, on reconnaît l’amour à ce l… Sapho feint vainement que ton disc…
DERNIER MOT. Un dernier mot, Pascal ! À ton tour de m’entendre Pousser aussi ma plainte et mon cri de fureur. Je vais faire d’horreur frémir ta noble cendre, Mais du moins j’aurai d...
De son bonheur furtif lorsque malg… L’amant d’Héro courait s’enivrer… Et dans la nuit tentait de gagner… Le bord où l’attendait l’Amour, Une lampe envoyait, vigilante et f…
Une princesse, au fond des bois, A dormi cent ans autrefois, Oui, cent beaux ans, tout d’une tr… L’enfant, dans sa fraîche retraite… Laissait courir le temps léger.
Ciel pur dont la douceur et l’écla… Monts blanchis, golfe calme aux co… Votre splendeur m’attriste, et sou… Votre divin sourire a fait monter… Du compagnon chéri que m’a pris le…
Frappe encor, Jupiter, accable-mo… L’ennemi terrassé que tu sais impu… Écraser n’est pas vaincre, et ta f… S’éteindra dans mon sang, Avant d’avoir dompté l’héroïque pe…
Depuis que sous les cieux un doux… Ma jeunesse en sa fleur, ouverte a… Si mon cœur a rêvé, si mon cœur rê… Le choix irrévocable et l’éternel… C’est qu’aux jours périlleux, touj…
Au courant de l’amour lorsque je m… Dans le torrent divin quand je plo… Et presse éperdument sur mon sein… Un être idolâtré. Je sais que je n’étreins qu’une fo…
Lorsque le dieu du jour, plein d’a… Dédaignant tout à coup l’Olympe e… Sans char, la lyre en main, s’élan… De la nymphe de ses désirs, Celle-ci, jusqu’au bout insensible…
Quand Orphée autrefois, frappé pa… Près de l’Hèbre tomba, sur les va… On vit longtemps encor sa lyre sur… Le fleuve au loin chantait sous le… Le gai zéphyr s’émut ; ses ailes a…
Je ne vous offre plus pour toutes… Que des cris de révolte et des rim… Oui ! Mais en m’écoutant si vous… Si, surpris des éclats de ma verve… Vous maudissiez la voix énergique…
Quand la rose s’entr’ouvre, heureuse d’être belle, De son premier regard elle enchante autour d’elle Et le bosquet natal et les airs et le jour. Dès l’aube elle sourit ; la brise avec a...